samedi 21 juin 2014

LA SÉCU ... C'EST FOUTU !

La Sécu… c’est foutu !

C’est sur cette phrase laconique que je vais maintenant vous expliquer ce qui se passe avec votre Sécu, qui en fait regroupe quatre branches. 


C’est court, concis, sommaire, mais cela explique très bien la réalité de la situation sur le terrain.

Pour illustrer mon propos je vous donne l’exemple de cet homme qui, atteint d’un cancer de la langue a vu son visage totalement détruit par ‘’trop de rayons et trop forts’’. La peau a été brûlée et les os abîmés.

Il est équipé d’une sonde gastrique et respire pat un orifice qui a été pratiqué dans sa trachée.
Sur la liste d’attente depuis le mois d’octobre 2013, il a appris, le jour de la fête des pères, que l’AP-HP vient de suspendre ce genre d’intervention. Après avoir attendu pendant des années et après avoir réussi à se faire inscrire sur la liste d’attente, il sait désormais que sa greffe n’aura pas lieu, tout du moins pas pour l’instant.

La lettre, adressée le 11 juin par le directeur de la recherche clinique au Professeur Lantieri, chef de chirurgie reconstructrice à l’hôpital Georges Pompidou, tient en dix lignes, formules de politesse comprises. 
Elle justifie l’arrêt du programme à cause d’un « budget actuellement insuffisant ».

Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

La ‘’Sécu’’, c’est en fait quatre branches distinctes :
- La branche maladie (maladie, maternité, invalidité, décès)
- La branche accidents du travail et maladies professionnelles,
- La branche vieillesse et veuvage,
- La branche famille.



Des déremboursements successifs (assurance maladie).
Dans les années 60, les remboursements dentaires et optiques ont été fortement réduits,
Les remboursements des soins courants sont passés progressivement de 80 à 65 % (augmentation du ticket modérateur),
Un forait hospitalier a été mis en place et régulièrement augmenté jusqu’à atteindre 18 euros,
Une participation forfaitaire (laissée à la charge de certains assurés) a été mise en place pour chaque visite chez le médecin et pour chaque acte médical de radiologie ou de biologie). Instituée le 1er janvier 2005 sous le gouvernement Raffarin,
Une franchise de € 0,50 a été instituée sur le remboursement de chaque boîte de médicaments, d’un acte paramédical et de € 2 pour un transport sanitaire. Instituée sous le gouvernement Fillon.

En fait le trou de la Sécu, comme nous sommes nombreux à l’appeler, souvent sans savoir exactement ce que cela veut dire, est un cadavre qui se trouve dans les placards de l’Élysée et que les différents locataires du palais se refilent après chaque passation de pouvoir. Une bombe qui pourrait bien exploser dès la rentrée prochaine.

Les vingt-quatre prochains mois risquent d’être particulièrement douloureux.

- Les tarifs des soins médicaux risquent de fortement augmenter,
- L’accès aux soins pourrait bientôt dépendre de vos moyens financiers,
- La qualité des soins pourrait fortement se détériorer.

A ce jour nous pouvons dire que 20 millions de Français sont poussés à ne plus se soigner, faute de moyens financiers et malheureusement ce n’est qu’un début.


Comment a–t-on pu en arriver là ?
Le 6 octobre 2003, il y a plus de dix ans, le ‘’journal’’ le Monde publiait :
« Les Français ne le savent pas, le gouvernement se refusant à dramatiser la situation, mais la Sécurité sociale est en quai-faillite. Les chiffres sont sans appel : L’assurance maladie accusera un déficit cumulé de 30 milliards d’euro sur la période 2002-2004. Moins de croissance économique  et toujours plus de dépenses, la mécanique est infernale, En moins de deux ans, le régime général est passé d’un très fragile équilibre à un ‘’trou’’ sans précédent depuis la création de le ‘’Sécu’’ en 1945 ».

C’est très clair et pourtant tout le monde semble s’être habitué à cette situation catastrophique.
Les dépenses de la Sécurité sociale vont augmenter dans les années à venir.
Du fait du vieillissement de la population, ce qui va augmenter la demande en soins de santé, en prestation sociales et en pensions de retraite.
Les progrès médicaux permettent de prolonger la durée de la vie, mais ils vont coûter de plus en plus cher  et augmenter les coûts de prise en charge thérapeutiques.

Le Figaro du 01/01/2014 -
« Selon les dernières projections du Haut Conseil à l’Avenir de l’Assurance-Maladie (HCAAM) publiées fin décembre, les dépenses de santé devraient augmenter beaucoup plus vite que la croissance jusqu’au milieu du siècle et creuser un peu plus le puits sans fond du trou de la Sécu ».

Le système ne serait-il pas tenté de ne plus soigner et rembourser que les pathologies les plus bénignes ? 

Et donc de laisser les populations les plus vulnérables se débrouiller par elles-mêmes.

Vous êtes riches, vous pouvez vous soigner, à vos frais ; vous êtes pauvres ou de la classe moyenne, vous n’avez pas les moyens financiers de vous soigner… crevez ! Une autre version des ‘’Soylen’’.



L’exemple que je donne au début de ce billet.
La tentation de fermer les services qui coûtent le plus cher.

Du côté de la Sécu, on ne peut pas espérer l’équilibre.
L’augmentation des recettes suppose celles des cotisations sociales et de la CSG, elle-même liée à la croissance du PIB, ce qui de nos jours relève de simples promesses.

Les déremboursements qui s’accumulent depuis des mois permettent de limiter les frais de la sécurité sociale, on parle même de dérembourser le Paracétamol, mais ce sont des dépenses qui désormais vous incombent.

Petite parenthèse : ici nous trouvons du paracétamol à deux (Php.2) pesos par cachet, il est même possible, dans les Pharmacies génériques de le trouver à un peso par cachet (Php 10 la plaquette de 10 unités).

Un Français sur trois ne se soigne plus !
Effrayant constat, difficile à admettre, mais posez la question autour de vous, vous constaterez alors que ce chiffre est proche de la réalité.
Vous trouverez de plus en plus de personnes malades qui ne se soignent pas, parce qu’elles n’en ont plus les moyens financiers. J’ai interrogé des amis et connaissances restés en France, plusieurs m’ont avoué continuer à aller travailler même avec une forte grippe. Nombre de ces personnes n’ont plus les moyens de se mettre en arrêt maladie et donc de perdre trois jours de salaire.

Aujourd’hui la Sécurité sociale ne rembourse plus que 55 % des soins courant, contre près de 80 % dans les années 80. À terme elle pourrait bien ne prendre en charge que certaines pathologies, pour tout le reste il faudra une complémentaire, complémentaire qui va coûter de plus en plus cher et donc être réservée à une partie de plus en plus réduite de la population.


Etre en bonne santé va bientôt devenir un signe extérieur de richesse.
Ne l’affichez pas trop, ils seraient bien capables d’inventer un impôt sur la bonne mine.

Il y a de plus en plus de Français qui ‘’préfèrent’’ (ont-ils le choix ?) être malade, ou alors qui attendent l’extrême limite avant que de consulter.
Que deviendront-ils si la crise s’aggrave ?
Faut-il craindre une crise sanitaire ?

A l’échelle de la France, le déficit de la Sécurité sociale cause une dégradation de la qualité des soins sans pareille.
Selon l’Euro Health Consumer Index, l’indice européen de comparaison de la qualité des soins, la France tenait la première place en 2006, depuis c’est la chute libre. 8ème en 2012, 9ème en 2013.

A ce rythme, nous pourrions passer derrière la République Tchèque à l’horizon 2020 (c’est dans cinq ans et demi pour rappel).

Les raisons de cette dégringolade : l’accès aux nouveaux médicaments, l’augmentation des déremboursements et l’accès aux soins, toujours plus longs. Les conversations que j’ai pu avoir avec mes parents ne laissent aucun doute à ce sujet. Les consultations chez certains spécialistes (ils sont de plus en plus nombreux) sont de plus en plus difficiles à obtenir et il faut parfois s’y prendre des mois à l’avance.

Les médecins généralistes vont eux aussi se raréfier, il vous faudra faire de plus en plus de kilomètres pour consulter.


Dégradation de la profession de médecin !
Le gouvernement entend généraliser le tiers payant dès les premières consultations chez le médecin.
Quelle administration, publique ou privée, peut se permettre de fournir des services gratuits à ses affiliés, alors que la ‘’Sécu’’ peine à éviter la faillite depuis 24 ans ?

Il y a incitation à faire baisser les tarifs des médecins en limitant les dépassements d’honoraires.
Un coup dur pour les médecins libéraux, un coup dur qui pourrait bien les inciter à passer au salariat et à retourner exercer en hôpital. D’où une désertification de certains départements et une situation qui pourrait bien ressembler bientôt à celle du Québec (bonjour à mes amis Québécois), où certains patients doivent faire 200 kilomètres pour consulter un médecin.

Une proposition de loi autorise les mutuelles à signer des contrats avec des médecins afin de moduler les remboursements et de créer ainsi des réseaux de soins.
L’on ne parlera plus alors de médecin de famille, mais de médecin de mutuelle.
D’ici à ce qu’ils en soient obligés d’en arriver à suivre l’exemple des ‘’experts automobiles auprès des assurances’’ !
A savoir, minimiser les dégâts afin de minimiser les remboursements.  

Donc il ne va pas falloir vous étonner de voir se développer les inégalités entre les riches et les pauvres et de voir pousser, comme des champignons, des hôpitaux privés.

Le symbole d’une santé à deux vitesses, ‘’The American Hospital of Paris’’.
Où croyez-vous que nos stars du showbiz, de l’audiovisuel et autres, se font soigner ?
Pas aux urgences de l’hôpital local.
Non, ils vont dans des hôpitaux de stars, les plus chers qui soient comme « l’Hôpital Américain de Paris ».



Le service y est digne de celui d’un grand hôtel et soyons réalistes, l’on y prodigue les meilleurs soins avec les meilleurs spécialistes.

Le personnel est souriant et détendu, l’attente est réduite au maximum et les examens sont réalisés en un temps record. Le Nouvel Observateur qui y a effectué une enquête en 2012, confirme que les prestations sont dignes des plus grands palaces. Mais à € 6.000 le ticket d’entrée et € 15 le potage, vous comprendrez que la ‘’chose’’ est réservée à l’élite. C’est un endroit où l’on accepte la carte ‘’Gold’’, pas la vitale.

Nous allons de plus en plus vers la France des inégalités.

Pourquoi les gouvernements n’ont-ils rien fait et pourquoi Hollande va laisser la Sécurité sociale dériver, au lieu de la réformer ?
En fait, l’origine de ce scandale ne passe pas par l’Élysée ou Matignon, mais par les bureaux de la Commission Européenne de Bruxelles. Là-bas, des technocrates émettent des directives censées guider les États membres.

La directive qui nous intéresse, dans le cadre de la Sécurité sociale française, se réfère à la ‘’passation des marchés publics’’. Sans vouloir entrer dans les détails, le dessein de l’Europe de Bruxelles est la privatisation de la Sécurité sociale.  

Concurrence égale baisse des prix ?
La santé ce n’est pas la téléphonie et avant de trouver un forfait santé ‘’Free’’ à quelques euros, vous risquez de passer par une phase durant laquelle vous allez dire « houlala, hulula,  (vieux langage africain depuis longtemps disparu)… que c’est cher.

S’il existe un ‘’effet revenu’’ qui empêche les plus bas revenus d’accéder aux soins, il n’existe pas d’effet de prix pour les autres. Une aubaine pour les mutuelles et les grands groupes pharmaceutiques. Les ménages qui en ont les moyens ne sont pas découragés par l’augmentation du prix des médicaments.


Les mutuelles complémentaires auront alors beau jeu de proposer des forfaits tout compris onéreux à destination des populations les plus riches et les populations les plus pauvres se tourneront alors vers des mutuelles basses prestations et la Sécu.
Selon certains experts, les tarifs de soins vont augmenter de 20 % minimum, avec de moins en moins de médicaments remboursés  et une qualité des soins qui va aller en diminuant. Seuls les riches pourront désormais se faire soigner correctement.

La médecine de ville devrait disparaître peu à peu au profit de l’hôpital.
Le budget santé des ménages de plus de 50 ans risque d’exploser et les inégalités vont être de plus en plus fortes.

Pour parler clairement, les Français devront bientôt faire des concessions sur la qualité de leurs soins, ou alors, pour ceux qui en ont les moyens, ils devront payer leurs soins médicaux plus chers.

L’on risque d’entendre prochainement, dans les cabinets médicaux, des phrases du style :
Les yeux, je vous soigne les deux ou un seul ?
Et pour ces dents, on en remplace combien?
Cinq jours de cure, c’est suffisant, non ?

On ne peut pas laisser un marché de plus de 600 milliards d’euros entre les mains du public, c’est contraire à l’idéologie libérale de Bruxelles.

Mais Hollande, comme tous les Présidents qui l’ont précédé, cherche à vous endormir.

Comme nous le faisait remarquer mon ami Thierry de Cagayan de Oro, la période du 14 juillet au 15 août est une période à risque.
C'est le moment propice aux mesures impopulaires. Je pense notamment à des lois sur les réseaux de soins ou au recours toujours plus systématiques aux mutuelles pour les remboursements. La rentrée prochaine pourrait être une période à risque pour votre protection sociale et votre santé et si cela se confirme, les grèves et les manifestations vont reprendre de plus belle à la rentrée prochaine.


Imaginez que vous êtes Président de la République, un Président de gauche, que vous teniez à le rester (Président) et ce, en dépit d'une popularité catastrophique et d’une gestion du pays calamiteuse.  

Imaginez maintenant que vous receviez des directives d'"en-haut", qu'il vous est absolument impossible de contester, sous peine de mettre le pays hors-la-loi.

Ordres intimés : réduire les dépenses de l'État et notamment en matière sociale et relancer la compétitivité de la Zone euro en ouvrant les marchés publics à la concurrence. Pourriez-vous un seul instant imaginer vous présenter à la tribune en homme de gauche et annoncer la mise en concurrence de la Sécurité sociale ? Eh bien non...

Vous feriez comme tous les Présidents avant vous. Vous feriez au mieux pour éviter le soulèvement populaire... et vous appliqueriez la seule solution qu'il vous reste : retarder l'échéance... jusqu'aux prochaines élections.

En septembre 2012, Bernard Debré, député UMP de Paris et Philippe Even, directeur de l'Institut Necker ont publié un livre à ce propos : le "Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux".
Leur verdict est sans appel : 50% de médicaments inutiles... 20% de mal tolérés... 5% de "potentiellement très dangereux", et tenez-vous bien : 75% d’entre eux sont remboursés !
Je pourrais vous trouver des centaines d'exemples illustrant les abus du lobby pharmaceutique !

Alors voilà, l'équation est simple :
Vous avez d'un côté la "Sécu" qui se désengage, les mutuelles qui augmentent leurs tarifs et enfin Big Pharma qui pousse à l'achat de médicaments inefficaces.
De l'autre côté, vous avez un Président de gauche qui ne peut pas aller à l'encontre des traités ratifiés. Au milieu de tout cela, nous, consommateurs malades et vieillissant, nous sommes de parfaits pigeons.


Pourquoi nous parle-t-il de la Sécurité sociale se demanderont certains d’entre vous ?

Vous le savez certainement, mais en tant qu’expatriés, nous perdons le droit à la couverture sociale française. En fait, nous n’avons plus droit à rien ou presque rien ; pas de Couverture Maladie Universelle, pas d’Aide Personnalisée au Logement, pas de CMUC, pas d’allocations familiales, pas d’aide à domicile, pas de maintien à domicile, pas d’aide à la rentrée scolaire, pas de Revenu de Solidarité Active (RSA), pas de prestations Accueil pour jeune enfants, pas d’indemnités chômage, etc. Nous sommes pratiquement considérés comme des parias.

Par contre, nous pouvons être imposables sur nos pensions de retraite, nous payons des impôts sur les biens immobiliers que nous possédons en France, nous ne pouvons déduire de nos revenus les pensions alimentaires versées en France, etc. Sans vouloir entrer dans le détail de ce que nous pouvons avoir à payer.

Alors que je le rappelle, nous sommes, pour majorité d’entre nous, des gens à la retraite ou proches de la retraite.
Ce qui veut dire que nous avons cotisé une bonne partie de notre vie, sans jamais beaucoup l’utiliser, à la Sécu.
Vieillissant, c’est donc à nos âges que nous devrions avoir le plus besoin de cette couverture sociale.

Et bien non, elle nous est refusée.



Les personnes qui viennent nous rejoindre seront dans le même cas de figure.
Néanmoins, compte tenu de la qualité des soins que nous pouvons trouver sur l’archipel, en tenant compte des réserves que j’indique dans mon billet ''frais médicaux'', je pense que, pour les soins courants tout du moins, nous sommes en avance sur ce qui va arriver en France.

Nous sommes majoritairement couverts par des assurances de forme mutuelles, qui dans la plupart des cas s’avère être moins chères que la Caisse des Français de l’étranger ou CFE. L’équivalent de la Sécu, destinée aux expatriés français, mais chère.

Donc et là je m’adresse plus spécialement aux retraités ou futurs retraités qui souhaiteraient nous rejoindre, aux avantages que présente l’archipel au niveau climat, coût de la vie, stress, accueil des populations locales, qualité de la nutrition mon billet alimentation plus saine, nous pouvons ajouter la qualité et le coût des soins de santé. Et, à mon avis, ce dernier avantage va devenir de plus en plus évident au cours des prochaines années.

Ici le malade est encore un patient, ce n’est pas encore un client.

Donc, même si vous avez une petite retraite, vous pourrez continuer à bénéficier de soins de qualité si vous venez vous installer sur l'archipel.

Pour les plus jeunes, ceux d’entre vous qui sont encore un peu éloignés de l'âge de la retraite, il est possible, sous certaines conditions, de vous assurer avec Philihealth, le système local de couverture santé.


Petite information qui m’arrive par la bande, il y aurait en préparation une nouvelle taxe qui toucherait le prix de l’essence et du gazole, ainsi que le fioul domestique et l’électricité.
Il ne vous reste qu’à espérer, ou plutôt à prier, que l’hiver prochain ne soit pas trop rigoureux.


Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

www.philippinestoursetvoyages.blogspot.com

Ainsi que chaque jeudi de 18 à 20 h, 12 à 14 h  en Europe sur Yahoo Messenger :
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1 commentaire:

  1. Salut Domi,
    Je lis, enfin relis ton post.
    Et bien tu vas pouvoir exercer un nouveau job, gourou économiste ou politique mais celui là te plaira peut être moins.
    C'est fait pour la rentrée 2015 selon les nouvelles directives les mutuelles vont augmenter de minimum 5 à 10% les cotisations avec pour ne pas prendre plus moins de remboursement.
    La directive porte le thème pompeux de "dépenses de santé responsables"...... Entre autres les dépenses dentaires et optiques sont la première cible.
    Pour les sceptiques, j'ai cèdé en début 2014 à la demande de mes collègues pour devenir secrétaire du CE, le pourquoi n'est pas le sujet ici. C'est donc de la bouche de notre courtier de la mutuelle que nous avons les details croustillants de l'info récemment.
    La pression mit par l'assureur n'est rien de moins qu'une dénonciation du contrat à titre conservatoire, histoire de nous impressionner.
    Donc voilà ton "billet" n'en est que plus d'actualité et vérifié maintenant.

    A kuya Domy tu vas pouvoir songer à ajouter à la liste Manghohola Domy ��
    (désolé si j'ai écorché le Tagalog, mais ma femme est des Visayas et n'utilise que peu de Tagalog).

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