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jeudi 16 mars 2017

TAAL, VOLCAN PHILIPPIN ... REVISITÉ !

Aujourd’hui nous allons rendre visite au lac et au volcan Taal. Un volcan actif, le deuxième plus actif des Philippines pour être précis, qui se situe à une cinquantaine de kilomètres dans le Sud de Manille. Afin d’éviter les embouteillages, monstrueux dans et à proximité de la capitale, nous allons partir de Ternate, notre petite ville qui se situe dans la province de Cavite, en limite de la province de Batangas.

Le cratère Binintiang Malaki.

Hier, en fin d’après-midi, nous avons récupéré un couple de connaissance à l’aéroport international de Manille, couple qui nous arrivait tout droit de Paris, après une petite escale à Doha.

Après un trajet d’un peu plus d’une heure, nous étions de retour à Ternate et je les installais dans la petite maison que nous avons au bord de la rivière. Je leur donnais alors deux heures pour se reposer un peu, se rafraichir et se préparer pour aller dîner.

Sachant qu’ils n’avaient que peu dormi durant les trente-six dernières heures, je n’ai pas souhaité les emmener trop loin. Lolo Claros à Maragondon, ville qui se situe à deux kilomètres de Ternate, a fait l’affaire pour le dîner. Lolo Claros, un petit restaurant simple, sans prétention, spécialisé dans le poulet de printemps et qui présente une carte néanmoins diversifiée. De plus, il y a de la San Miguel Light, même si cette dernière est en cannette d’aluminium… on ne peut pas tout avoir. Retour deux petites heures plus tard et au dodo pour ce couple qui se trouvait bien fatigué.

L'île et le cratère principal avec son lac

Ce matin, nous leur avons fait porter un petit-déjeuner complet, avec pan de sal, toasts, céréales et des fruits, dont quelques délicieuses mangues ‘’Carabao’’. Il est maintenant presque huit heures, le van et son chauffeur sont là, allons les récupérer. Et ils sont prêts, un exploit après leurs dernières quarante-huit heures bien mouvementées. Embarquement dans le van, van dans lequel nous sommes désormais six personnes : le couple, mon épouse et moi-même, le chauffeur, ici nous disons driver et ma fille aînée, qui n’ayant pas cours ce jour, a souhaité nous accompagner.

Et, en voiture Simone !
Nous passons Maragondon, puis les faubourgs (un grand mot) de Naïc et prenons à droite au niveau du Barangay San Roque… direction Indang, nous allons ainsi éviter Trece Martires, la capitale provinciale où il y a parfois des embouteillages. Moins d’une quinzaine de kilomètres entre Naïc et Indang, pourtant, sans nous en apercevoir, nous sommes passés d’une altitude de pratiquement zéro à plus de trois cents mètres. Indang… attention aux sens interdits, il y a un passage pour la montée et un autre pour la descente, mais tout ceci est parfois un peu compliqué, pour le cartésien que je suis tout du moins. Mais le chauffeur connaît, bien qu’il se soit retrouvé en sens unique et donc interdit pour notre véhicule lors de notre dernier passage.
Aucun problème et sachez le, tout s’arrange toujours aux Philippines ; de plus en souriant.

Prenons maintenant la direction de Mendez. Il y a également la possibilité de passer par Alfonso, mais… ne compliquons pas les choses. Peu ou pas de panneaux indicateurs, aussi faisons au plus simple, tout droit, vers l’Est, en direction du soleil.

Coucher de soleil sur le lac

Étonnant, il y a de nombreuses fleurs dans les jardins et même sur les bas-côtés de la route. Il faut dire que nous sommes désormais à une altitude qui avoisine les quatre cents mètres, l’air est déjà (légèrement)  plus frais. Un petit stop à une station d’essence, plus pour ces dames que pour remplir le réservoir. Je souhaite que les toilettes soient correctes, autrement je risque d’entendre parler du pays. Étonnant quand on songe que les Philippines sont tout de même plus le pays de mon épouse que le mien ; de plus, pour pisser, je me contente la plupart du temps d’un arbre et peu importe l’essence… de l’arbre. De plus, le van étant un Nissan diésel, peu nous importe l’essence. Stoppons là les digressions !

Mendez, encore cinq kilomètres et nous rejoignons la Hi Way, celle  qui va de Nasugbu à Tagaytay. Prenons à gauche, puis à droite, au niveau  de la fourche, en direction du centre-ville de Tagaytay.

Alors que Ternate se situe au niveau de la mer ou presque, Tagaytay, au niveau des contreforts tout du moins, se situe à plus de six cents mètres. Prenons à droite dans le centre-ville et là attention, sur quelques petits kilomètres de route en lacets et d’épingles à cheveux, nous allons passer de six cents à cinq mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui est l’altitude du lac Taal. L’endroit où un tandem, (vélo à deux places que je connais bien), a perdu ses freins… pourtant à disques.


Quatre à cinq kilomètres de descente vertigineuse et nous voici à Talisay, au bord du lac Taal.


Le cratère principal en 1901, sans le lac

La dernière fois que j’ai fait ce trajet, c’était sous des trombes d’eau et croyez moi, ne conduisant pas, je n’en menais pas large. Néanmoins, sans incident nous arrivons au bord du lac et je dirige tout le monde vers le Taal volcano observatory, Un endroit d’où il sera, pour tout un chacun, possible de prendre des photos extraordinaires du volcan et du lac.

Le patron de la Bangka, patron que j’avais pris la précaution de prévenir de notre arrivée, est là à nous attendre. Embarquement sur une Bangka et une petite virée d’une demi-heure sur le lac avant d’aborder l’île sur laquelle se trouve le volcan. Donc, nous avons une île, île qui se situe au milieu d’un lac qui est un ancien cratère, cratère qui se situe sur une île, tout cela au milieu d’un lac qui est une ancienne caldera, le tout sur l’île de Luzon, entre Océan Pacifique et Mer de l’Ouest des Philippines.

Débarquement sur l’île, au milieu du lac, là où se trouve le cratère du volcan et en route pour ce dernier distant tout au plus de deux kilomètres.
Il y a la possibilité de louer des chevaux, mais étant donné la condition physique de ces animaux, je déconseille vivement. Maintenant, si les choses s’améliorent, pourquoi pas !

Les personnes qui effectuent la visite de l’île qui se situe sur le lac et où se trouve le volcan, sont relativement peu nombreuses. De ce fait, la grande majorité des gens qui se contentent de visiter Taal en contemplant le volcan à partir des hauteurs, font une grossière erreur. Le petit cône que l’on peut apercevoir sur la partie Nord de l’île, celui qui est partiellement ouvert sur le lac, n’est pas le volcan. Pas le volcan actuel tout du moins. Ce petit cratère est le cône d’éjection de l’éruption de 1911, son nom Binintiang Malaki.

L'éruption de 1965

L'île est formée de la réunion de quarante-sept cônes de tufs, stratovolcans et autres cônes volcaniques culminants à quatre cents mètres d'altitude et dont certains sont encore immergés. Sur le flanc sud-ouest de l'île se trouve un autre cratère, le Tabaro, qui est le siège des dernières éruptions du Taal.

Le cratère actuel, celui qui est plus ou moins en activité, se situe au milieu de l’île, invisible même des hauteurs de Tagaytay et contient un lac duquel émerge une île minuscule.

Durant la période que je nommerai moderne, période qui s’étend de l’arrivée des Espagnols à nos jours, trente-trois éruptions du Taal ont été enregistrées ; la dernière datant de 1977.

En montant doucement vers le cratère principal en suivant un sentier sinueux, nous remarquons quelques habitations locales. Ce qui veut dire que des gens vivent et habitent ici et ce malgré le danger que représente le volcan toujours considéré comme actif. Lors de la montée il me semble apercevoir quelques fumerolles ici et là. De plus, l’odeur d’œufs pourris, caractéristique d’émanations de dioxyde de souffre, confirme que le volcan est toujours en activité.


Il fait chaud, mais ce n’est pas uniquement la température de l’air ; en touchant le sol de la main il est possible, à certains endroits, de ressentir la chaleur du sol. Il se passe quelque chose là-dessous ! Il se pourrait que de la lave en fusion ne soit pas très éloignée de la surface.

L’endroit est extrêmement poussiéreux, encore plus poussiéreux lorsqu’il n’a pas plu depuis plusieurs semaines. Aussi nous utilisons les masques de papier qui nous ont été donnés par le patron de la barque et nous les conservons durant toute l’ascension.
Néanmoins, je constate qu'il y a de plus en plus de végétation sur l'île, peu à peu la nature reprend ses droits.

Nous sommes maintenant devant le cratère principal, celui qui s’est rempli d’eau qui et qui forme désormais un petit lac. L’ascension aura duré un tout petit peu plus d’une demi-heure, sans forcer, à notre rythme. Néanmoins, il est temps de faire une petite pause, de boire et de prendre des photos. Malheureusement le temps est un peu brumeux et c’est tout juste si nous distinguons les pics et contreforts qui se trouvent par delà le lac principal.



Donc nous nous trouvons sur une île au milieu d’un lac.
Sur cette île se trouve un cratère rempli d’eau d’où émerge une île minuscule.

En 1901 s’est produite une éruption qui a créé un cône et un cratère à l’intérieur du cratère actuel, cratère qui est maintenant sous les eaux.
À cette époque, le lac qui se trouve devant nous n’existait pas, mais il y avait trois lacs beaucoup plus petits.

Sur l’île principale les spécialistes ont référencé quarante-trois cônes et cratères

Le lac Taal se trouve dans l’ancienne Caldera, le chaudron principal du volcan, celui qui a explosé entre 100.000  et 500.000 années avant notre ère. Les dimensions de ce lac : vingt-cinq kilomètres par dix- huit, une surface de plus de deux cents trente-quatre kilomètres carrés pour une circonférence de cent quinze kilomètres. Essayez d’imaginer l’apocalypse que cela à du être lorsqu’il a explosé.

Le lac, longtemps relié à la mer, a vu son accès à cette dernière bloqué par la grande éruption de 1754. Éruption qui a ravagé toutes les villes et les villages qui se trouvaient sur ses rivages et dont il est encore possible de voir les vestiges sous plusieurs mètres d’eau.

Alors que le soleil est au zénith et qu’il fait de plus en plus chaud, nous prenons le chemin de retour en direction de notre Bangka. Nous profitons de la fraîcheur relative durant la traversée et retrouvons notre chauffeur qui s’était assoupi. Les lacets, les virages en épingles à cheveux, mais en remontant cette fois-ci… ce qui est nettement moins impressionnant, mais tout aussi dangereux.

Vue de la ''Calderaa''

Il est une heure et trente minutes ;  la ‘’Rontonda’’, un grand rond point fleuri qui se situe dans le centre de Tagaytay et en avant pour le restaurant Joséphine où nous allons déjeuner. Nous en profiterons pour prendre quelques photos, il y a à cet endroit un point de vue qui embrasse l’ensemble du cirque de Taal. 

Impressionnant  et grandiose le précipice, cet à pic sur plus de cinq cents mètres de dénivelé. On en a le vertige. La brume s’est quelque peu dissipée et nous devrions réaliser de magnifiques clichés

Une fois rassasiés, le chauffeur nous conduira jusqu’à la ville de Taal. Nous visiterons la basilique de Saint Martin de Tours avant de nous rendre dans quelques boutiques où se vendent les Balisongs, ces couteaux papillons spécialités de la ville.

La basilique de Saint Martin de Tours

Puis ce sera le retour sur Ternate où nous dînerons d’un BBQ préparé dans le jardin terrasse.

Pour plus d'information sur le volcan et la lac Taal.


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lundi 10 février 2014

CONNAISSEZ-VOUS ... LE BALISONG ?

Vous connaissez le yo-yo, tout le monde connait le yo-yo, ce jeu considéré comme le plus ancien au monde après la toupie. Mais savez-vous que, si son origine est inconnue, son nom actuel vient du Tagalog, une des langues Philippines.

Se pourrait-il que le yo-yo soit originaire de l’archipel des Philippines ?


Mais, il était connu en Grèce il y a plus de deux mille ans !
Les grecs auraient-ils visité les Philippines à l’époque du Christ, comme certains le supposent ?

A la fin du XVIIIe siècle, les Britanniques connaissent ce jeu sous le nom de ‘’bandalore’’, puis il passe en France apporté par les émigrés de la Révolution française, où il est appelé émigrant ou émigrette.

Aujourd’hui ce n’est pas du yo-yo dont je souhaite vous parler, non je voudrais vous parler d’un autre objet dont l’origine reste mystérieuse, tout du moins controversée, je veux parler du Balisong.
Fan knife, butterfly knife, couteau papillon, couteau pliant ou Balisong, tels sont les principaux noms donnés à cet objet.

Qui a inventé le Balisong ?

L’évidence ; un livre français, daté de 1710, nommé le ‘’Perret’’ décrit parfaitement, avec des dessins, le ‘’butterfly knife’’. Ce qui tendrait à prouver que le Balisong est originaire de France où il serait né à la fin des années 1600, voire au début des années 1700. Une copie de ce livre peut être vue au Musée de la ville de Thiers en Auvergne, ville renommée pour sa fabrication de couteaux, lames et ses industries de la coutellerie.


Ce qui vient contredire ceux qui affirment que le Balisong est originaire des Philippines où il serait né au début des années 1900.

Certainement né en France, le Balisong s’est par la suite propagé en Allemagne, en Angleterre et en Espagne.

Il existe des pièces fabriquées en Allemagne par Bongten & Sabin qui sont estampillées D.R.G.M 1867, ainsi qu’un catalogue de Bongsen & Sabin daté de 1895 dans lequel sont présentés des Balisongs.
Nous trouvons également des Balisongs fabriqués en Espagne et qui portent MDCCXCV, chiffres romains qui se traduisent par 1895.

Un autre exemple nous est donné par un Balisong à la poignée d’argent, fabriqué en Angleterre et qui  porte les marques gravées suivantes : WM, une couronne, un lion et un d.  Ce qui se traduit par William Morton, celui qui a fabriqué le couteau ; la couronne est un symbole qui donne la pureté de l’argent utilisé ; le lion est la marque (enregistrée) de fabrique de la Rockingham Works dans la ville de Sheffield ; le d stylisé est un symbole standard qui date la pièce de 1873.

Donc il semble presque certain que le Balisong ne soit pas originaire des Philippines où il serait né au début des années 1900.


Il y a de grandes chances qu’un Européen, les Philippines étaient alors une colonie espagnole, ait importé le savoir-faire et qu’il ait débuté une fabrication sur l’archipel. Ou plus simplement importé un exemplaire qui aurait par la suite été copié par les locaux. Ce pourrait être également un Filipino qui ait fait cette démarche, car ils étaient nombreux à se rendre en Europe à la fin du 19ème siècle.

Quand je dis que le ‘’Balisong’’ n’est certainement pas philippin, en fait je m’exprime mal.
Je devrais dire que l’invention de ce style de couteau n’est certainement pas une invention philippine.

Mais le mot ‘’Balisong’’ est lui un nom bien philippin.

Il s’agit d’un des deux ‘’Barangays’’ de la province de Batangas dans lesquels sont fabriqués ces couteaux, le deuxième étant le Barangay Pandayan. Ces deux barangays se situent dans la ville de Taal, sur la province de Batangas, où parfois ce genre de couteau est également nommé ‘’Batangas blade’’.

L’art de la fabrication du Balisongs aux Philippines remonte à l’année 1905.
Certains disent qu’il a été inventé, je dirais perfectionné, par Perfecto de Leon en tant qu’arme.

Selon l’histoire, il est possible de faire remonter les origines du Balisong aux environs de l’an 800, car
ses ancêtres se retrouveraient dans une arme ancienne utilisée dans le ‘’Kali’’, un art de combat d’origine Malayo-polynésienne. A mon avis, il s’agirait plutôt d’une arme d’origine européenne, adaptée à un sport de combat local.

C’est depuis devenu un produit philippin qui se vend dans le monde entier.



Le nom Balisong veut dire ‘’corne brisée’’, Bali voulant dire casser et ‘’sung’’ poignée.
Les manches des premiers Balisong étaient tous réalisés en corne de ruminants. Depuis l’on utilise également du bois, du métal et du plastique.

De nos jours il vous est possible de choisir votre ‘’Balisong’’ parmi différents modèles et styles. Il vous sera possible de porter votre choix sur un Dibuyod, un Bayonet, un Double lame, un Razor, un Rambo ou bien sûr celui à la lame standard.

Le long des rues de la ville de Taal, il vous est possible de voir les Taaleños en train de fabriquer des Balisongs.

Les forges ancestrales où l’on met les lames en forme à partir de feuilles de métal, l’affutage de ces mêmes lames, la fabrication, la décoration des manches et la finition. Le travail est entièrement réalisé à la main, aucune industrialisation dans la fabrication des Balisongs.

Taal est l’endroit où il est possible de voir ces artisans et artistes fabriquer à l’ancienne des couteaux de qualité, des modèles uniques qui gardent l’empreinte de leurs créateurs. Des maîtres dans leur spécialité, des maîtres qui  transmettent leur savoir-faire de génération en génération.

Attention que dans de nombreux pays la législation sur les armes interdit le port de ce type de couteau.
C’est le cas aux Philippines. Renseignez-vous avant que de commander votre Balisong aux Philippines.
Sachez que, lorsque vous achetez un Balisong original, c’est d’une œuvre d’art dont vous faites l’acquisition.



Le Balisong, un souvenir à rapporter de Taal, mais n’oubliez pas de goûter aux Tapang Taal et Langanisang Taal. Pour un Balisong de qualité, comptez entre US $ 50 et 250. 


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