A quoi peut-on s’attendre à l’aube naissante de cette nouvelle année ?
L’économie de la zone euro est en train de se dévorer elle-même, ou plus précisément une partie de la zone (l’Allemagne et globalement les pays du « Nord ») est en train de dévorer l’économie des pays du « Sud ».
Prenons l’exemple des dévaluations internes, autrement dit de ces politiques qui consistent à baisser les salaires brutalement, à la fois directement et indirectement par le biais de fortes réductions des avantages sociaux, dans le but, dit-on, d’accroître la compétitivité de ces pays.
Que ce passe-t-il alors ? La baisse importante de revenu des ménages provoque une contraction de la croissance (Grèce, Espagne, Italie, Portugal). Cette contraction engendre une chute de la production, mais aussi des marges bénéficiaires des entreprises. Le chômage y dépasse alors les 25% (Grèce et Espagne). Si la compétitivité s’améliore, ce qui est le cas en Espagne, c’est essentiellement au détriment des autres pays du Sud, soit essentiellement la France.
La production industrielle se stabilise pour un temps. Mais cela ne dure pas. En effet, la chute des marges globales, et l’incertitude sur le niveau de la demande, entraînent une forte chute de l’investissement. Sans investissement, les entreprises ne peuvent exploiter le gain en compétitivité. Pire, les entreprises ont du mal à renouveler leur appareil productif. Ce dernier vieillissant, la productivité du travail cesse de s’accroître, puis commence à diminuer.
Il faut alors pousser plus loin la baisse des revenus pour maintenir la compétitivité par rapport aux autres pays. Progressivement, l’économie devient complètement extravertie car la demande intérieure disparaît. Les économies en dévaluation interne ne peuvent trouver leur salut qu’aux dépens des autres, car il n’y a plus de marché intérieur.
Ce schéma pourrait être acceptable dans le cas d’un petit pays dont les partenaires maintiendraient une politique économique expansive. Mais, quand cette dévaluation interne est le fait de la 3ème et de la 4ème économie de la zone Euro (Italie et Espagne), c’est une politique sans issue.
Cela se traduit par une croissance de l’Allemagne, et une stagnation, voire une récession pour l’ensemble de la zone. La productivité globale sur la Zone Euro augmente, du fait de l’Allemagne, mais elle décroît désormais en Espagne et Italie, et stagne en France. Aujourd’hui, l’effondrement de l’investissement (qu’il s’agisse de l’investissement productif ou de l’investissement en logement) est le signe le plus tangible que la crise n’est pas derrière mais devant nous.
C’est avant tout une crise de la monnaie unique.
L’euro, monnaie unique, n’est pas adapté à l’ensemble des pays qui l’utilisent à ce jour.
Pour que cette monnaie unique soit viable, il faudrait que tous les pays de la zone aient la même inflation, qu’ils empruntent sur les marchés au même taux, qu’ils aient les mêmes taux d’imposition sur les sociétés, etc.
Au moins un pays de la zone euro dispose d’ores et déjà de tampons qui pourraient être utilisés afin de dévaluer sa monnaie ‘’euro’’, avant de faire imprimer de nouveaux billets dans sa propre devise.
Disparition de l’euro ou éclatement de la zone ?
Certains pays, ceux du nord, gardant la monnaie unique, les pays du sud revenant à des monnaies nationales.
Le retour au Franc est tout à fait envisageable, il est même souhaitable et il existe des projets bien avancés à ce sujet. Dévaluation de ce Franc par rapport à l’ensemble des autres monnaies, y compris bien évidemment l’euro et retour à la compétitivité des entreprises françaises exportatrices.
Le cas le plus difficile concerne la Grèce dont la dette est exigible en euros.
L’Union bancaire est une vaste fumisterie, le projet initial a été entièrement vidé de sa substance par le diktat allemand.
Maintenant imaginez que les patrons des quatre plus grandes banques françaises soient reçus un matin à l’Elysée et qu’ils disent au ‘’Toumou’’ : « Soit tu nous laisses continuer à faire ce que l’on veut, l’on continue à faire ‘’joujou’’, soit nous fermons le robinet des découverts et des crédits ».
Que pensez-vous qu’il puisse répondre ?
Une frange importante de la population est systématiquement à découvert une partie du mois et le nombre de ceux qui vivent à crédit n’est pas négligeable. Idem pour de nombreuses entreprises.
Philippines
Au sujet des Philippines et à une remarque que me faisait un ami qui vit non loin de la ville d’Ormoc dans la province de Leyte, je répondais de la façon suivante.
Je ne suis pas certain que le problème démographique soit, à ce jour tout du moins, le plus préoccupant du pays.
A la condition toutefois que cette démographie galopante soit jugulée dans les dix prochaines années.
Il est prévisible qu'une tranche importante de la population va être sacrifiée sur l'autel du développement économique. Mais de toute façon cette tranche était sacrifiée d'avance.
A mon avis, la stabilité politique et la lutte contre la corruption, je ne parle pas d'éradication, sont les deux piliers qui doivent servir de base au développement du pays et à un plus grand partage des richesses.
Le développement a été pendant trop longtemps bloqué par un système féodal, voulu et entretenu par les politiques, les grandes familles, les grands propriétaires terriens, souvent les mêmes, le tout plus ou moins manipulé par l'église, ou tout du moins avec son accord..
A ce jour (depuis trois, quatre ans en fait), l'on voit émerger une classe moyenne, une classe qui grossit à vue d'œil, dans et autour des plus grandes villes philippines tout du moins.
Il n'est pas rare de rencontrer de jeunes couples dont les revenus mensuels oscillent entre 150 et 200 Kp. Et ces jeunes couples, dont les deux travaillent, planifient le nombre d'enfants qu'ils souhaitent avoir.
La régulation du nombre d'enfants par famille va se faire d'elle-même et ce pour plusieurs raisons : la perte de puissance et d'autorité de l'église, de l'église catholique, je ne parle pas des sectes du type Iglésia Ni Christo ; d'une information qui passe mieux chez les jeunes et d'une désagrégation de la famille traditionnelle philippine.
La profonde transformation de la famille philippine fait que, par exemple, la mère, qui travaille, ne peut s'occuper de la garde des gamins de ses filles. L'accès aisé aux moyens de contraception ... il n'est pas rare que je croise à la pharmacie des gamines de 14 / 15 ans qui viennent acheter une boîte de pilules. Impensable il y a encore dix ans !
Les mentalités changent, avoir de nombreux enfants n'est plus une certitude d'assurer ses vieux jours. Nombreux sont ceux qui n'auront pas la chance (?) d'être dans le train du développement économique, mais c'est le prix que le pays va avoir à payer.
Il se peut que ce changement ne soit pas encore visible sur Leyte, mais je peux vous assurer qu'il est perceptible à Ternate, petite ville de province de 25.000 âmes, située à 55 kilomètres au sud-ouest de Manille.
Au sujet de la femme philippine
En ce qui me concerne, je n’ai pas à me plaindre.
Elle est parfois ‘’chiante’’ (veuillez me pardonner l’expression, mais elle reflète parfaitement ma pensée), comme elles le sont toutes plus ou moins, mais pour ce qui est de la tenue de la maison, de s'occuper des enfants, de s'occuper de moi ... je lui tire mon chapeau et ce après 16 ans de vie conjugale !
Le problème avec la Pinay est qu'elle veut toujours avoir raison, même et surtout quand elle a tort.
Ne jamais chercher à la contrer, là est la clé de tout. Il n'est pas question de se défiler ou d'être lâche, mais il ne faut pas les affronter de face, cela se termine toujours très mal, c’est ce qui ressort de mon analyse tout du moins. Sachons biaiser, jouer des bandes comme il se doit
Il se pourrait que j’aie trouvé la parade, l'arme absolue ; lors de l'arrivée imminente d'un conflit potentiel, je les vois venir de loin, je prends ma motocyclette et m'éloigne quelques petites heures. Au retour tout est oublié, car elle s'est inquiétée de ce que j'ai bien pu faire durant cette escapade et là, son imagination va bon train, annihilant de par là même les raisons de sa colère.
Un bon bouquin entre parenthèses, un bouquin à lire ou à relire en ces temps difficiles ; je veux parler bien évidemment ‘’des raisins de la colère’’.
France
Le ‘’Flamby’’, ne sera-t-il pas tenté de dissoudre l’assemblée, dans un but uniquement de politique politicienne ? Refiler le bébé à l’agonie à l’opposition devenue majoritaire, qui ne pourra que le maintenir en vie artificielle.
Tout ceci dans le but évident d’essayer d’obtenir (voler ?) un second mandat en 2017.
Mais le ‘’peuple’’ le laissera-t-il faire ?
La révolte gronde !
De plus en plus de gens se rendent compte que nous sommes gouvernés, non pas par des incapables comme nous pourrions le penser, mais par une oligarchie, de droite comme de gauche, qui ne pense qu’à ses intérêts, qu’à elle et à elle seule.
La démocratie, ce mot ne veut plus rien dire de nos jours, sauf si le peuple se révolte et reprend un pouvoir qu’il a perdu depuis longtemps. Vous n’élisez plus vos représentants, vous ne votez que pour des personnes qui vous sont imposées, imposées par des partis qui ressemblent de plus en plus à des sectes.
Mes blogs me donnent de plus en plus de travail, à croire qu'une partie de l'Europe veut émigrer.
A quand l’arrivée de boat-people européens au large des côtes de Palawan ?
Ils sont de plus en plus nombreux à quitter le navire France qui, faisant eau de toute part, est en train de sombrer.
Ne m'appelez plus jamais France, appelez-moi Titanic et il n'y a pas assez de gilets de sauvetage ni de canots pour tout le monde.
L'orchestre du Flamby nous joue la marche funèbre, avant d’entamer le vaisseau fantôme, tandis que nous nous enfonçons vers les abîmes... le vide sidéral de nos grands cerveaux me sidère !
La France vit à crédit.
Pour payer ses fonctionnaires, payer les retraites, payer les chômeurs, pour la sécurité sociale, la France emprunte à très court terme et le déficit continue de se creuser.
Ceci, grâce à vos 10.000 milliards de patrimoine qui servent de caution, de garantie pour les créditeurs
.
Le patrimoine français est estimé à environ 10.000 milliards d’euros qui se répartissent en :
7.250 milliards de patrimoine immobilier,
3.950 milliards d’actifs financiers, auxquels nous devons retrancher
1.250 milliards de passif financier.
Attendez-vous à ce qu’un jour prochain le gouvernement rafle une partie du magot !
Les textes dans ce sens ont déjà été votés, ne l’oubliez pas.
Les dépenses de santé sont hors de contrôle, le déficit est proche de 8 milliards par an !
Un expert nous dit : « il va falloir choisir entre le maintien en bonne santé d’une large partie de la population et la survie d’une poignée de patients ».
Pour ce qui est de la poignée, il faut comprendre tous ceux qui ont plus de 50 / 55 ans, une belle poignée tout de même.
Nous allons y arriver au ‘’Soleil Vert’’, les vieux, je préfère anciens, doivent disparaitre.
Ils ne servent à rien ces vieux, ils sont improductifs, ils coûtent cher en dépenses de santé, perçoivent une pension à ne rien faire, thésaurisent une partie de l’économie et refusent de consommer.
Supprimons les vieux !
Sur les économies mondiales, dont les médias autorisés vous disent qu’elles repartent.
Le Japon
Désolé de vous l’apprendre, mais mise à part la bourse, l’économie japonaise va de plus en plus mal.
Les fondamentaux et les marchés boursiers font le grand écart !
La BCJ (Banque Centrale) continue à fournir du carburant (papier) sous forme de QE, la planche à billet et le premier ministre japonais pourrait être tenté de lancer de nouvelles lignes de production.
La reprise économique est tout à fait hypothétique. Population vieillissante, déflation ou fausse inflation dues principalement aux importations, endettement supérieur à 230 % du PIB, etc.
C’est une dette essentiellement détenue par des Japonais, ce qui veut dire qu’avec une dévaluation de l’ordre de 30 %, du yen, les personnes qui ont investi dans des bons du trésor japonais ont perdu un peu moins de 30 % de leurs économies en deux ans ! Les intérêts sont ridicules au vu des risques encourus. Donc le système de monsieur Abe ruine le peuple, sans vraiment faire quelque chose pour améliorer la situation économique du pays.
Regardez du côté des exportations japonaises, elles sont en baisse régulière.
MacDo ferme 74 enseignes au Japon, ses produits sont devenus trop cher.
Pour information la Bourse de Tokyo était à plus de 18.000 points en 2007 / 2008, elle n’est qu’à 16.291 aujourd’hui. Il va encore y avoir des Nikkey !
La Chine
L’on nous dit « la croissance chinoise toujours soutenue, mais moins forte ».
En fait la Chine s’essouffle.
Pour cela il suffit d’aller chercher les chiffres des importations de matières premières et de comparer les chiffres des exportations aux chiffres des importations des pays où elle exporte.
Et là, il y a discordance. Il faut pratiquement diviser les chiffres annoncés par deux afin d’avoir une vue objective de la situation.
La Chine n’a toujours pas réussi à passer d’une économie presque exclusivement tournée vers l’exportation à une économie plus tournée vers son marché intérieur, à un moment ou il y a une faiblesse de la demande mondiale.
D’autre part, les banques chinoises manquent de liquidité, la demande intérieure est faible, la Chine est confrontée à des problèmes environnementaux sévères, l’on constate une surcapacité de production dans plusieurs secteurs industriels et la bulle immobilière gonfle démesurément.
Enfin, cerise sur le gâteau, en 2013 les coûts salariaux ont augmentés de 17 % dans 27 provinces chinoises.
Les USA
Ça y est … l’économie américaine est repartie !
Attention.
Même Mr. Bernanke met des bémols dans son speech du 3 janvier, à l’occasion de la réunion annuelle de l’American Economic Association à Philadelphie.
‘’La reprise économique est encore incomplète’’.
Je rappelle que Bernanke est le Président de la FED jusqu’au 31 janvier de cette année, date à laquelle il sera remplacé par Madame Yellen.
Selon lui, une croissance "décevante" de la productivité est aussi en partie responsable de la lenteur de l'expansion économique américaine.
"Les raisons de cette faible hausse de la productivité ne sont pas claires", a-t-il déclaré notant que la sévérité de la crise financière, en réduisant l'offre de crédit, avait peut-être "inhibé l'innovation, les investissements productifs et la création de nouvelles sociétés".
Donc des bémols dans une croissance plus que molle.
Il nous confie que, si le chômage aux États-Unis se stabilise autour de 7 %, il faut également tenir compte des nombreuses radiations qui ont été effectuées par l’administration, ainsi que de ces américains, qui de plus en plus nombreux, ne recherchent même plus un emploi.
L’immobilier repart !
Oui, mais pas les prêts hypothécaires. Ce qui veut dire que ce sont les institutionnels qui achètent ces biens immobiliers, pour les louer. Ce qui fait que les Américains sont en train de passer d’un pays de propriétaires à un pays de locataires. C’est cela la reprise ?
Les offres d’emploi, si on les regarde d’un peu plus près, que voit-on ?
Que la grande majorité des offres d’emploi concerne des emplois à temps partiel, des emplois de serveurs et barmen, des emplois de femmes de ménage, etc.
Uniquement des emplois peu qualifiés et sous-payés.
Aux États-Unis un serveur fait principalement son salaire avec les pourboires.
Un autre problème s’annonce à l’horizon, la chute brutale d’une grande banque, une de celles dont on dit ‘’too big to fall’’ ? Après s’être séparée de son département matières premières, après avoir vendu son siège prestigieux (en face de la FED), la voici condamnée à payer des amendes les unes après les autres. Et pas de petites amendes ; 5 milliards par-ci, trois milliards par là et boom 13 milliards. Tout cela en $ et cela pourrait bien ne pas s’arrêter là !
Too big to fall ?
Ils sont à ce jour plus nombreux que l’entière population espagnole ces Américains qui mangent grâce à des coupons d’alimentation distribués par les États. 52 millions en tout, ce qui sur une population totale de 316 millions, représente une proportion non négligeable.
A quoi pouvons-nous nous attendre, nous qui vivons hors de France, en cas de retour à une monnaie nationale. Tout simplement à une perte de l’ordre de 20 à 25 % de notre pouvoir d’achat, ce qui devrait être l’ordre de grandeur de la dévaluation compétitive de cette nouvelle monnaie.
Un quart de notre pouvoir d’achat ce n’est pas négligeable, certains risquent d’éprouver certaines difficultés financières. Plus particulièrement ceux qui n’ont que leurs pensions de retraite françaises comme revenus.
Ce pouvoir d’achat devrait progressivement augmenter après une période plus ou moins longue, période qui pourrait durer entre trois et cinq ans.
Peut être temps de s’en préoccuper.
A votre avis, en 2014 :
Dissolution de l’Assemblée Nationale ou pas ?
Retour à un Franc dévalué par rapport aux autres monnaies ?
Les impôts et taxes vont-ils encore augmenter ?
Nouvelle hausse de la TVA ou de la CGS, ou des deux ? (Financement de la santé),
Inversion réelle de la courbe du chômage ?
Révolte d’une partie de la population, suivie de la démission de ‘’Moi Je 1er’’ ?
Année de transition ou année de grands bouleversements ?
Vos prévisions pour les 360 jours qui restent dans cette année 2014 nous intéressent, merci de laisser un commentaire.
Wait and see.
J'ai néanmoins l'impression que la vie risque fort de devenir particulièrement difficile pour ceux restés dans l'hexagone en cette année 2014.
L’économie de la zone euro est en train de se dévorer elle-même, ou plus précisément une partie de la zone (l’Allemagne et globalement les pays du « Nord ») est en train de dévorer l’économie des pays du « Sud ».
Prenons l’exemple des dévaluations internes, autrement dit de ces politiques qui consistent à baisser les salaires brutalement, à la fois directement et indirectement par le biais de fortes réductions des avantages sociaux, dans le but, dit-on, d’accroître la compétitivité de ces pays.
Que ce passe-t-il alors ? La baisse importante de revenu des ménages provoque une contraction de la croissance (Grèce, Espagne, Italie, Portugal). Cette contraction engendre une chute de la production, mais aussi des marges bénéficiaires des entreprises. Le chômage y dépasse alors les 25% (Grèce et Espagne). Si la compétitivité s’améliore, ce qui est le cas en Espagne, c’est essentiellement au détriment des autres pays du Sud, soit essentiellement la France.
La production industrielle se stabilise pour un temps. Mais cela ne dure pas. En effet, la chute des marges globales, et l’incertitude sur le niveau de la demande, entraînent une forte chute de l’investissement. Sans investissement, les entreprises ne peuvent exploiter le gain en compétitivité. Pire, les entreprises ont du mal à renouveler leur appareil productif. Ce dernier vieillissant, la productivité du travail cesse de s’accroître, puis commence à diminuer.
Il faut alors pousser plus loin la baisse des revenus pour maintenir la compétitivité par rapport aux autres pays. Progressivement, l’économie devient complètement extravertie car la demande intérieure disparaît. Les économies en dévaluation interne ne peuvent trouver leur salut qu’aux dépens des autres, car il n’y a plus de marché intérieur.
Ce schéma pourrait être acceptable dans le cas d’un petit pays dont les partenaires maintiendraient une politique économique expansive. Mais, quand cette dévaluation interne est le fait de la 3ème et de la 4ème économie de la zone Euro (Italie et Espagne), c’est une politique sans issue.
Cela se traduit par une croissance de l’Allemagne, et une stagnation, voire une récession pour l’ensemble de la zone. La productivité globale sur la Zone Euro augmente, du fait de l’Allemagne, mais elle décroît désormais en Espagne et Italie, et stagne en France. Aujourd’hui, l’effondrement de l’investissement (qu’il s’agisse de l’investissement productif ou de l’investissement en logement) est le signe le plus tangible que la crise n’est pas derrière mais devant nous.
C’est avant tout une crise de la monnaie unique.
L’euro, monnaie unique, n’est pas adapté à l’ensemble des pays qui l’utilisent à ce jour.
Pour que cette monnaie unique soit viable, il faudrait que tous les pays de la zone aient la même inflation, qu’ils empruntent sur les marchés au même taux, qu’ils aient les mêmes taux d’imposition sur les sociétés, etc.
Au moins un pays de la zone euro dispose d’ores et déjà de tampons qui pourraient être utilisés afin de dévaluer sa monnaie ‘’euro’’, avant de faire imprimer de nouveaux billets dans sa propre devise.
Disparition de l’euro ou éclatement de la zone ?
Certains pays, ceux du nord, gardant la monnaie unique, les pays du sud revenant à des monnaies nationales.
Le retour au Franc est tout à fait envisageable, il est même souhaitable et il existe des projets bien avancés à ce sujet. Dévaluation de ce Franc par rapport à l’ensemble des autres monnaies, y compris bien évidemment l’euro et retour à la compétitivité des entreprises françaises exportatrices.
Le cas le plus difficile concerne la Grèce dont la dette est exigible en euros.
L’Union bancaire est une vaste fumisterie, le projet initial a été entièrement vidé de sa substance par le diktat allemand.
Maintenant imaginez que les patrons des quatre plus grandes banques françaises soient reçus un matin à l’Elysée et qu’ils disent au ‘’Toumou’’ : « Soit tu nous laisses continuer à faire ce que l’on veut, l’on continue à faire ‘’joujou’’, soit nous fermons le robinet des découverts et des crédits ».
Que pensez-vous qu’il puisse répondre ?
Une frange importante de la population est systématiquement à découvert une partie du mois et le nombre de ceux qui vivent à crédit n’est pas négligeable. Idem pour de nombreuses entreprises.
Philippines
Au sujet des Philippines et à une remarque que me faisait un ami qui vit non loin de la ville d’Ormoc dans la province de Leyte, je répondais de la façon suivante.
Je ne suis pas certain que le problème démographique soit, à ce jour tout du moins, le plus préoccupant du pays.
A la condition toutefois que cette démographie galopante soit jugulée dans les dix prochaines années.
Il est prévisible qu'une tranche importante de la population va être sacrifiée sur l'autel du développement économique. Mais de toute façon cette tranche était sacrifiée d'avance.
A mon avis, la stabilité politique et la lutte contre la corruption, je ne parle pas d'éradication, sont les deux piliers qui doivent servir de base au développement du pays et à un plus grand partage des richesses.
Le développement a été pendant trop longtemps bloqué par un système féodal, voulu et entretenu par les politiques, les grandes familles, les grands propriétaires terriens, souvent les mêmes, le tout plus ou moins manipulé par l'église, ou tout du moins avec son accord..
A ce jour (depuis trois, quatre ans en fait), l'on voit émerger une classe moyenne, une classe qui grossit à vue d'œil, dans et autour des plus grandes villes philippines tout du moins.
Il n'est pas rare de rencontrer de jeunes couples dont les revenus mensuels oscillent entre 150 et 200 Kp. Et ces jeunes couples, dont les deux travaillent, planifient le nombre d'enfants qu'ils souhaitent avoir.
La régulation du nombre d'enfants par famille va se faire d'elle-même et ce pour plusieurs raisons : la perte de puissance et d'autorité de l'église, de l'église catholique, je ne parle pas des sectes du type Iglésia Ni Christo ; d'une information qui passe mieux chez les jeunes et d'une désagrégation de la famille traditionnelle philippine.
La profonde transformation de la famille philippine fait que, par exemple, la mère, qui travaille, ne peut s'occuper de la garde des gamins de ses filles. L'accès aisé aux moyens de contraception ... il n'est pas rare que je croise à la pharmacie des gamines de 14 / 15 ans qui viennent acheter une boîte de pilules. Impensable il y a encore dix ans !
Les mentalités changent, avoir de nombreux enfants n'est plus une certitude d'assurer ses vieux jours. Nombreux sont ceux qui n'auront pas la chance (?) d'être dans le train du développement économique, mais c'est le prix que le pays va avoir à payer.
Il se peut que ce changement ne soit pas encore visible sur Leyte, mais je peux vous assurer qu'il est perceptible à Ternate, petite ville de province de 25.000 âmes, située à 55 kilomètres au sud-ouest de Manille.
Au sujet de la femme philippine
En ce qui me concerne, je n’ai pas à me plaindre.
Elle est parfois ‘’chiante’’ (veuillez me pardonner l’expression, mais elle reflète parfaitement ma pensée), comme elles le sont toutes plus ou moins, mais pour ce qui est de la tenue de la maison, de s'occuper des enfants, de s'occuper de moi ... je lui tire mon chapeau et ce après 16 ans de vie conjugale !
Le problème avec la Pinay est qu'elle veut toujours avoir raison, même et surtout quand elle a tort.
Ne jamais chercher à la contrer, là est la clé de tout. Il n'est pas question de se défiler ou d'être lâche, mais il ne faut pas les affronter de face, cela se termine toujours très mal, c’est ce qui ressort de mon analyse tout du moins. Sachons biaiser, jouer des bandes comme il se doit
Il se pourrait que j’aie trouvé la parade, l'arme absolue ; lors de l'arrivée imminente d'un conflit potentiel, je les vois venir de loin, je prends ma motocyclette et m'éloigne quelques petites heures. Au retour tout est oublié, car elle s'est inquiétée de ce que j'ai bien pu faire durant cette escapade et là, son imagination va bon train, annihilant de par là même les raisons de sa colère.
Un bon bouquin entre parenthèses, un bouquin à lire ou à relire en ces temps difficiles ; je veux parler bien évidemment ‘’des raisins de la colère’’.
France
Le ‘’Flamby’’, ne sera-t-il pas tenté de dissoudre l’assemblée, dans un but uniquement de politique politicienne ? Refiler le bébé à l’agonie à l’opposition devenue majoritaire, qui ne pourra que le maintenir en vie artificielle.
Tout ceci dans le but évident d’essayer d’obtenir (voler ?) un second mandat en 2017.
Mais le ‘’peuple’’ le laissera-t-il faire ?
La révolte gronde !
De plus en plus de gens se rendent compte que nous sommes gouvernés, non pas par des incapables comme nous pourrions le penser, mais par une oligarchie, de droite comme de gauche, qui ne pense qu’à ses intérêts, qu’à elle et à elle seule.
La démocratie, ce mot ne veut plus rien dire de nos jours, sauf si le peuple se révolte et reprend un pouvoir qu’il a perdu depuis longtemps. Vous n’élisez plus vos représentants, vous ne votez que pour des personnes qui vous sont imposées, imposées par des partis qui ressemblent de plus en plus à des sectes.
Mes blogs me donnent de plus en plus de travail, à croire qu'une partie de l'Europe veut émigrer.
A quand l’arrivée de boat-people européens au large des côtes de Palawan ?
Ils sont de plus en plus nombreux à quitter le navire France qui, faisant eau de toute part, est en train de sombrer.
Ne m'appelez plus jamais France, appelez-moi Titanic et il n'y a pas assez de gilets de sauvetage ni de canots pour tout le monde.
L'orchestre du Flamby nous joue la marche funèbre, avant d’entamer le vaisseau fantôme, tandis que nous nous enfonçons vers les abîmes... le vide sidéral de nos grands cerveaux me sidère !
La France vit à crédit.
Pour payer ses fonctionnaires, payer les retraites, payer les chômeurs, pour la sécurité sociale, la France emprunte à très court terme et le déficit continue de se creuser.
Ceci, grâce à vos 10.000 milliards de patrimoine qui servent de caution, de garantie pour les créditeurs
.
Le patrimoine français est estimé à environ 10.000 milliards d’euros qui se répartissent en :
7.250 milliards de patrimoine immobilier,
3.950 milliards d’actifs financiers, auxquels nous devons retrancher
1.250 milliards de passif financier.
Attendez-vous à ce qu’un jour prochain le gouvernement rafle une partie du magot !
Les textes dans ce sens ont déjà été votés, ne l’oubliez pas.
Les dépenses de santé sont hors de contrôle, le déficit est proche de 8 milliards par an !
Un expert nous dit : « il va falloir choisir entre le maintien en bonne santé d’une large partie de la population et la survie d’une poignée de patients ».
Pour ce qui est de la poignée, il faut comprendre tous ceux qui ont plus de 50 / 55 ans, une belle poignée tout de même.
Nous allons y arriver au ‘’Soleil Vert’’, les vieux, je préfère anciens, doivent disparaitre.
Ils ne servent à rien ces vieux, ils sont improductifs, ils coûtent cher en dépenses de santé, perçoivent une pension à ne rien faire, thésaurisent une partie de l’économie et refusent de consommer.
Supprimons les vieux !
Sur les économies mondiales, dont les médias autorisés vous disent qu’elles repartent.
Le Japon
Désolé de vous l’apprendre, mais mise à part la bourse, l’économie japonaise va de plus en plus mal.
Les fondamentaux et les marchés boursiers font le grand écart !
La BCJ (Banque Centrale) continue à fournir du carburant (papier) sous forme de QE, la planche à billet et le premier ministre japonais pourrait être tenté de lancer de nouvelles lignes de production.
La reprise économique est tout à fait hypothétique. Population vieillissante, déflation ou fausse inflation dues principalement aux importations, endettement supérieur à 230 % du PIB, etc.
C’est une dette essentiellement détenue par des Japonais, ce qui veut dire qu’avec une dévaluation de l’ordre de 30 %, du yen, les personnes qui ont investi dans des bons du trésor japonais ont perdu un peu moins de 30 % de leurs économies en deux ans ! Les intérêts sont ridicules au vu des risques encourus. Donc le système de monsieur Abe ruine le peuple, sans vraiment faire quelque chose pour améliorer la situation économique du pays.
Regardez du côté des exportations japonaises, elles sont en baisse régulière.
MacDo ferme 74 enseignes au Japon, ses produits sont devenus trop cher.
Pour information la Bourse de Tokyo était à plus de 18.000 points en 2007 / 2008, elle n’est qu’à 16.291 aujourd’hui. Il va encore y avoir des Nikkey !
La Chine
L’on nous dit « la croissance chinoise toujours soutenue, mais moins forte ».
En fait la Chine s’essouffle.
Pour cela il suffit d’aller chercher les chiffres des importations de matières premières et de comparer les chiffres des exportations aux chiffres des importations des pays où elle exporte.
Et là, il y a discordance. Il faut pratiquement diviser les chiffres annoncés par deux afin d’avoir une vue objective de la situation.
La Chine n’a toujours pas réussi à passer d’une économie presque exclusivement tournée vers l’exportation à une économie plus tournée vers son marché intérieur, à un moment ou il y a une faiblesse de la demande mondiale.
D’autre part, les banques chinoises manquent de liquidité, la demande intérieure est faible, la Chine est confrontée à des problèmes environnementaux sévères, l’on constate une surcapacité de production dans plusieurs secteurs industriels et la bulle immobilière gonfle démesurément.
Enfin, cerise sur le gâteau, en 2013 les coûts salariaux ont augmentés de 17 % dans 27 provinces chinoises.
Les USA
Ça y est … l’économie américaine est repartie !
Attention.
Même Mr. Bernanke met des bémols dans son speech du 3 janvier, à l’occasion de la réunion annuelle de l’American Economic Association à Philadelphie.
‘’La reprise économique est encore incomplète’’.
Je rappelle que Bernanke est le Président de la FED jusqu’au 31 janvier de cette année, date à laquelle il sera remplacé par Madame Yellen.
Selon lui, une croissance "décevante" de la productivité est aussi en partie responsable de la lenteur de l'expansion économique américaine.
"Les raisons de cette faible hausse de la productivité ne sont pas claires", a-t-il déclaré notant que la sévérité de la crise financière, en réduisant l'offre de crédit, avait peut-être "inhibé l'innovation, les investissements productifs et la création de nouvelles sociétés".
Donc des bémols dans une croissance plus que molle.
Il nous confie que, si le chômage aux États-Unis se stabilise autour de 7 %, il faut également tenir compte des nombreuses radiations qui ont été effectuées par l’administration, ainsi que de ces américains, qui de plus en plus nombreux, ne recherchent même plus un emploi.
L’immobilier repart !
Oui, mais pas les prêts hypothécaires. Ce qui veut dire que ce sont les institutionnels qui achètent ces biens immobiliers, pour les louer. Ce qui fait que les Américains sont en train de passer d’un pays de propriétaires à un pays de locataires. C’est cela la reprise ?
Les offres d’emploi, si on les regarde d’un peu plus près, que voit-on ?
Que la grande majorité des offres d’emploi concerne des emplois à temps partiel, des emplois de serveurs et barmen, des emplois de femmes de ménage, etc.
Uniquement des emplois peu qualifiés et sous-payés.
Aux États-Unis un serveur fait principalement son salaire avec les pourboires.
Un autre problème s’annonce à l’horizon, la chute brutale d’une grande banque, une de celles dont on dit ‘’too big to fall’’ ? Après s’être séparée de son département matières premières, après avoir vendu son siège prestigieux (en face de la FED), la voici condamnée à payer des amendes les unes après les autres. Et pas de petites amendes ; 5 milliards par-ci, trois milliards par là et boom 13 milliards. Tout cela en $ et cela pourrait bien ne pas s’arrêter là !
Too big to fall ?
Ils sont à ce jour plus nombreux que l’entière population espagnole ces Américains qui mangent grâce à des coupons d’alimentation distribués par les États. 52 millions en tout, ce qui sur une population totale de 316 millions, représente une proportion non négligeable.
A quoi pouvons-nous nous attendre, nous qui vivons hors de France, en cas de retour à une monnaie nationale. Tout simplement à une perte de l’ordre de 20 à 25 % de notre pouvoir d’achat, ce qui devrait être l’ordre de grandeur de la dévaluation compétitive de cette nouvelle monnaie.
Un quart de notre pouvoir d’achat ce n’est pas négligeable, certains risquent d’éprouver certaines difficultés financières. Plus particulièrement ceux qui n’ont que leurs pensions de retraite françaises comme revenus.
Ce pouvoir d’achat devrait progressivement augmenter après une période plus ou moins longue, période qui pourrait durer entre trois et cinq ans.
Peut être temps de s’en préoccuper.
A votre avis, en 2014 :
Dissolution de l’Assemblée Nationale ou pas ?
Retour à un Franc dévalué par rapport aux autres monnaies ?
Les impôts et taxes vont-ils encore augmenter ?
Nouvelle hausse de la TVA ou de la CGS, ou des deux ? (Financement de la santé),
Inversion réelle de la courbe du chômage ?
Révolte d’une partie de la population, suivie de la démission de ‘’Moi Je 1er’’ ?
Année de transition ou année de grands bouleversements ?
Vos prévisions pour les 360 jours qui restent dans cette année 2014 nous intéressent, merci de laisser un commentaire.
Wait and see.
J'ai néanmoins l'impression que la vie risque fort de devenir particulièrement difficile pour ceux restés dans l'hexagone en cette année 2014.
A
tous mes amis qui se trouvent sur l'archipel, à tous ceux qui ne sont pas
encore arrivés,
à tous mes lecteurs et à ceux qui vont prochainement nous rejoindre :
à tous mes lecteurs et à ceux qui vont prochainement nous rejoindre :
Que
2014 soit pour vous l’année de toutes les réussites, de toutes les joies et de
tous les aboutissements.
Je ne
sais pas pourquoi, mais je sens que cette nouvelle année va être une excellente
année, un grand millésime, car vous êtes de plus en plus nombreux à arriver et à planifier de venir nous rejoindre.
année, un grand millésime, car vous êtes de plus en plus nombreux à arriver et à planifier de venir nous rejoindre.
A
tous mes meilleurs vœux, santé, bonheur et prospérité pour cette année 2014 qui
s'ouvre à nous !
Entrons
dans cette nouvelle année avec allégresse, exaltation, extase, gaieté,
satisfaction et plaisir… pourquoi ne pas y ajouter l’ivresse, des sens ?
Pour
ce qui est de l’avenir, il ne s’agit pas de prévoir, mais de rendre possible.
Antoine de Saint-Exupery
Antoine de Saint-Exupery
Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.
Ainsi que chaque jeudi de 18 à 20 h, 12 à 14 h en Europe sur Yahoo Messenger :
Pseudo < dtesteil >
Les articles de ce blog sont © Copyright protected. Leur reproduction, mise en réseau public ou privé, sous quelque forme sont interdites sans l'accord préalable de l'auteur.
Rendez-vous sur la page livres pour en savoir plus.
Prendre sa retraite aux Philippines,
Pourquoi ?
7107 îles, plus de 36.000 kilomètres de côtes,
des milliers de plages de sable blanc, le soleil toute l’année ;
des montagnes qui culminent à plus de 3.000 mètres,
la jungle, les forêts, des paysages grandioses.
des milliers de plages de sable blanc, le soleil toute l’année ;
des montagnes qui culminent à plus de 3.000 mètres,
la jungle, les forêts, des paysages grandioses.
Une population chaleureuse et accueillante, des tribus colorées.
Un excellent service de santé à un prix abordable. Le coût de la vie,
un des plus bas au monde ; de nombreux avantages offerts aux retraités,pas d’impôts ni de taxes.
un des plus bas au monde ; de nombreux avantages offerts aux retraités,pas d’impôts ni de taxes.
Rendez-vous sur la page livres pour en savoir plus.
“Épouser une Femme Philippine”,
sous titré,
Chercher Trouver et Marier une Pinay,
Un livre complet qui aborde tous les sujets sans tabous.
Plus d’information sur la page ‘’livres’’
Mon petit livre “101 façons de Générer des Revenus aux Philippines, pour y vivre’’ est maintenant disponible.
Vous trouverez plus d’information sur la page ‘’Livres’’
Salut,
RépondreSupprimertoujours aussi intéressant de te lire.
Je suis marié avec avec une philippine depuis 7 ans et je vis en France avec l'idée de pouvoir m'installer là bas un jour ou l'autre.
On a déjà un peu de terrain assez bien placé aux philippines mais
Je réfléchis toujours à des idées de business raisonnables sur place mais bénéficiant d'un salaire correct en France j'ai du mal à faire le saut.
Parmi toutes mes idées, j'ai du mal à évaluer la faisabilité et le degré de sécurité envisageable pour une petite activité de négoce de matériaux de construction ou de fabrication de moellons aux philippines pour le marché local.
Bonne année et meilleurs voeux pour 2014.
Bonjour,
RépondreSupprimerLe négoce de matériaux de construction me semble quelque peu saturé, sur la région du grand Manille tout du moins. Une petite étude de marché, sur place, pourrait s'avérer une idée judicieuse. Tout va dépendre de l'endroit, je n'ai pas la prétention de connaître tous les secteurs sur l'ensemble de l'archipel. Mais effectivement l'immobilier est en plein boom.
Amicalement, Domy.
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour ton avis.
Mon secteur se situe dans le centre des visayas sur une île assez paisible et touristique.que tu mentionnes parfois sur ce blog.
Pour l'instant j'en suis toujours au stade la réflexion. Je pense aussi aux fishponds à milkfish très nombreux aux alentours de la maison de ma femme qui se situe dans un secteur avec de l'eau de très bonne qualité et des débouchés assurés.
Mais là pareil je manque d'info techniques concrètes à part quelque vieux rapports de la FAO.
Sinon, un de mes avantages est que ma femme est assez appréciée dans son coin et que certaines membres de sa familles ont déjà ce type d'exploitation .
Cordialement,
Salut
RépondreSupprimerMerci pour ton avis même si ce projet est encore pour moi un simple vélléité.
LE secteur se situe sur une île des visayas assez agréable et bien desservie.
Je m'interesse aussi aux fishponds à milkfish, très nombreux autour de la maison de ma femme, ils bénéficient dans ce coin, d'une eau de tres bonne qualité.
Si tu as le temps de me répondre, aurais tu des retours de personnes ayant tenté l'expérience ?
Bien cordialement
Vincent.