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samedi 2 août 2014

TAXIS ... CELA S'AMÉLIORE !


Récemment, au début de ce mois de juillet 2014 pour être un peu plus précis, je me suis rendu à Manille et j’ai utilisé six fois les services d’un taxi. Je peux vous assurer que les choses s’améliorent et si tout n’est pas encore parfait, je peux vous dire qu’il y a du mieux. Une seule fois un taxi a refusé de mettre le compteur en service.


Arrivé à Baclaran vers 17 heures en provenance de Ternate, je prends un taxi qui maraude et lui indique ‘’Fort Bonifacio’’. Nul besoin de lui dire de mettre le compteur en route, il le fait automatiquement et j’arrive sans problème à ma destination qui se situe 30ème rue intersection de la X avenue.

Le trajet a été direct, la route la plus courte, pas de demande supplémentaire par rapport au prix affiché, je laisse un petit pourboire au ‘’driver’’.

Je retrouve mon ami Garry et nous allons prendre un verre dans un petit bar qui se situe au sixième ou septième étage d’un immeuble anodin. Là il faut connaître, de nombreux bars et restaurants se trouvent ainsi disséminés dans les étages d’immeubles, immeubles que l’on croirait plutôt destinés à l’habitation, voire à abriter des bureaux. 

Peu, voir pas de bars ou de restaurants donnant directement sur la rue, dans cette partie du Fort tout du moins.
Sauf au Burgos circle où il est possible de trouver un starbuck (à proximité), the Coffee Beans & Tea leaf, le Cafe Juanita, un restaurant indien, un italien, une pizzeria, etc.


Vers dix neuf trente nous sortons de l’immeuble et hélons un taxi qui passe dans l’avenue. Nous montons à l’arrière et le chauffeur nous propose « Metro ou 120 pesos ?», ceci après que nous lui ayons donné notre destination, Burgos Street croisement Makati avenue. Je fais un rapide calcul, avec les embouteillages et à cette heure ci, nous ne devrions pas être perdants. OK, let’s go pour 120 pesos (€ 2). 

Je suis incapable de vous dire par où nous sommes passés, toujours est-il qu’une demi-heure plus tard nous étions à destination.

Garry souhaite me faire découvrir un nouveau restaurant qui vient de s’installer dans ce quartier. Un pub en fait, un pub typiquement anglais, mais Garry n’est-il pas un sujet de sa très gracieuse ?

Après les 30º C, minimum qui doivent s’afficher à l’extérieur, une glacière que ce pub. Commandons deux SanMig light à une charmante serveuse venue nous apporter la carte. Quand je dis charmante, je devrais dire avenante, prévenante, attentionnée… pour un autre post, dans un autre registre, parlons transport.

Après une Caesar Special Salad, meilleure que celle du Cubana Cafe et un dessert composé d’une tarte aux fruits proposée avec deux boules de glace, nous revoici à la recherche d’un taxi.


Pas difficile, nous sommes sur Makati Avenue, non loin de Buendia, il est 21 h et les taxis sont pléthore à cette heure.

Et là, nous allons tomber sur un chauffeur de taxi qui va refuser de mettre en route le compteur.
Je lève la main, un taxi stoppe, nous montons à l’arrière, le chauffeur nous demande où nous allons, je lui réponds   « Ermita, Mabini Street corner United Nation avenue » et j’ajoute « meter please ». Il démarre, sans mettre le compteur et j’insiste « Metro please »… il accélère, je répète « Metro please » et comme rien ne se passe j’hurle « Stooooop ». Il se retourne vers moi en me disant « the meter is not working », j’hurle à nouveau « stooooop, il s’arrête et nous descendons après avoir fait environ trois cents mètres.

Même procédure ; je lève la main, un taxi stoppe, nous montons à l’arrière, j’indique notre destination, le chauffeur met en route le compteur et roulez jeunesse. Mabini street, je fais arrêter le taxi un peu avant l’intersection de United Nation, devant le Las Palmas Hôtel où doit nous attendre Ron, un ami tout juste arrivé de Hong Kong et qui a confirmé son arrivée par SMS il y a de cela une petite heure.

Garry se rend à la réception, se renseigne, passe un coup de fil avec le téléphone intérieur, me rejoint  au bar et m’annonce « Il arrive dans dix minutes ». OK, deux SanMig light please.
Effectivement, un petit quart d’heure plus tard l’ami Ron arrive et… trois SanMig light please.
Nous sortons et montons dans un taxi qui vient juste de déposer des clients à l’hôtel.


Je monte à l’avant laissant les deux amis, qui ne se sont pas vu depuis au moins un mois, sur la banquette arrière. Avant même de nous demander où nous allons le chauffeur démarre et met le ‘’Metro’’ en fonctionnement.

« Cubao, Aurora boulevard », lui dis-je et nous voilà parti.
A droite dans United Nations Avenue, traversons Taft Avenue en direction de Paco, prenons Guazon Avenue, puis Quirino Avenue avant de tourner à droite dans Magsasay et hop, après le passage de la San Juan River nous sommes dans Aurora boulevard. Trois bons kilomètres plus tard, nous traversons EDSA et après une centaine de mètres je demande au chauffeur de nous arrêter…  « Para dito »,  nous finirons à pied les quelques dizaines de mètres qu’il nous reste à parcourir.  

Quelques (nombreuses) tournées de SanMig lights plus tard, mais encore tôt dans la nuit, nous trouvons un taxi qui va nous ramener  au Fort, pour Garry et moi, et qui conduira Ron, sans aucun problème et avec le ‘’meter’’ en marche, jusqu’à son hôtel d’Ermita. 

Le lendemain, vers dix heures et après un copieux petit déjeuner, je quitterai Garry pour m’en retourner dans ma province. Il me faudra demander deux fois au chauffeur du taxi de bien vouloir mettre le ‘’Metro’’, mais il s’exécutera sans un mot. Direction le Coastal Mall où je prendrai un bus qui en une heure et quinze minutes me ramènera au bercail.

Donc il m’a été possible de constater qu’il y a une sérieuse amélioration dans la façon de faire des taxis, moins de tentatives d’arnaques, pas de ‘’le prix est affiché en dollars’’ ou ‘’le prix est par personne transportée’’, etc.

Les taxis de l’aéroport sont relativement chers comparés à ceux que l’on trouve en ville, au moins le double.


Il y a trois types de taxis aux terminaux de l’aéroport de Manille. Les Yellow cabs, reconnaissables à leur couleur jaune, des vans de couleur blanche si vous êtes nombreux et des taxis outsiders ou clandestins. Pour les nouveaux arrivants, voire pour ceux qui connaissent mal les terminaux, je vous conseille de prendre un taxi jaune si vous êtes seul ou à deux et un van si vous êtes plus nombreux.

Pour qui connait le terminal Nº 1, il est également possible de trouver des taxis ‘’normaux’’ en descendant au rez-de-chaussée, là où se trouve le Duty free shop.

Au terminal 1, après le passage en douane, sur votre gauche se trouve les comptoirs des compagnies de taxis, Yellow cabs et vans. L’on va vous demander où vous souhaitez vous rendre et le prix sera de l’ordre de php 400 à 500 (€ 7 à € 8,50) pour vous rendre à Ermita avec un Yellow cab, montant que l’on peut comparer à celui d’un taxi normal qui serait de moins de php 200. Mais et là je me répète, si vous ne connaissez pas ou pas bien…

Ces taxis et vans sont tous en excellente condition de marche, souvent neufs et très propres, de plus  les chauffeurs connaissent leur métier.


Au terminal 3, la semaine dernière, les vans étaient à php 750, n’avons pas vu de Yellow cabs, mais avons trouvé un clandestin avec un excellent véhicule à php 450 (du terminal 3 au Manila Hôtel).

Petite note pour les fumeurs.
Il est interdit de fumer à l’intérieur des terminaux. Pour le terminal 3, possibilité de fumer dès la sortie, pour le 1, il faut traverser la voie d’accès et il est possible de satisfaire son vice de part et d’autre de la descente vers le rez-de-chaussée.


Avez-vous constaté du mieux dans la façon d'agir des chauffeurs de taxis ?


Ce billet fait suite à celui que j’écrivais le 19 juin 2011   TAXIS... TRANSPORTS


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la jungle, les forêts, des paysages grandioses.

Une population chaleureuse et accueillante, des tribus colorées.
Un excellent service de santé à un prix abordable. Le coût de la vie,
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dimanche 24 avril 2011

VISA ... DU NOUVEAU !


Après quelques déboires en fin d’année dernière, le Philippine Department of Tourisme semble vouloir bouger dans le bon sens en ce début d’année.

 Comme disait récemment un Américain : « Is it possible ? Could it be ? ». Il semblerait que oui, il semblerait que le Philippine Department of Tourism soit sur le point de faire un geste dans le bon sens, ceci afin d’attirer plus de tourisme dans un secteur un peu marginalisé ces dernières années.

Ce qui a été annoncé en début d’année, c’est que le DOT a l’intention de commencer à fournir un nouveau type de visa, pour les étrangers qui souhaiteraient séjourner aux Philippines. Cela sera un Visa pour le Tourisme Médical.


Sans aucun doute, le Tourisme Médical a le vent en poupe et a déjà commencé à atteindre les côtes d’autres pays asiatiques et effleure les côtes philippines depuis quelques années.
A ce jour, le tourisme médical connait un franc succès en Inde et en Thaïlande et ce geste du DOT va très certainement apporter une vague de visiteurs à la recherche de soins médicaux sur les rives Philippines.

Ce nouveau visa, qui devrait être disponible dès cette année, permettra aux personnes qui viennent se faire soigner aux Philippines de rester 6 mois dans le pays sans avoir à faire renouveler ce visa et n’auront pas besoin de faire la demande d’une ACR card, comme doivent le faire les simples touristes qui souhaitent prolonger leur séjour, en prolongeant leur visa. C’est un grand pas qui est franchi et qui va permettre à ceux qui viennent pour se faire soigner de rester aux Philippines sans avoir le problème de faire renouveler leur visa durant leur traitement.

Nous ne savons toujours pas, à ce jour, si le visa sera renouvelable ou prorogeable à l’expiration des 6 mois, mais je suis persuadé que nous aurons plus de détails dans un délai raisonnable.

Personnellement je n’ai pas eu à subir d’intervention chirurgicale importante. Un hameçon de Rapala dans le gros orteil, ouverture pour retirer la bête et un coup malheureux de Bolo sur l’avant-bras qui a nécessité l’intervention de deux chirurgiens, la réparation d’une artère sectionnée et 7 ou 8 points de suture. Travaille de première classe et de précision, je n’ai perdu que peu de sensibilité, perte de petits vaisseaux et de terminaisons nerveuses, tout fonctionne parfaitement et la cicatrice est invisible. Test de sensibilité à l’anesthésique avant l’opération … parfait.


Je ne suis pas le seul à avoir fait ce constat. Une de mes connaissances m’a parlé de ses quatre différentes opérations, programmées de longue date, de sa note d’hôpital de 6.000 US $ et comme il était heureux de la façon dont cela c’était passé. Non seulement la note totale représentait une fraction de ce que cela lui aurait coûté au pays, mais les soins reçus … aussi bien, sinon mieux.

J’ai plusieurs autres exemples de personnes qui se sont fait opérer ou soigner ici, toutes sont unanimes : ‘’first class service’’. Que ce soit pour une appendicite, une crise cardiaque ou une attaque cérébrale.
Parfois nous entendons des expats qui ont planifié de retourner dans leur pays d’origine pour se faire opérer, sauf considération de prise en charge, je ne pense pas que cela soit systématiquement nécessaire.

Une grande partie des docteurs et chirurgiens qui exercent ici ont été formés aux Etats-Unis.
Les infirmières, qui ont suivi leur cursus aux Philippines, travaillent dans de nombreux pays étrangers et sont très appréciées, prouvant par là même qu’elles ont toutes les compétences nécessaires.

Pourquoi aller ailleurs quand il y a besoin de soins médicaux ?
Attention tout de même à choisir votre hôpital ou clinique.

Mettre en place un visa pour le Tourisme Médical va, très certainement, attirer de nombreux touristes à la recherche de soins de qualité à un prix compétitif.




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