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mercredi 19 juin 2013

INTÉGRATION ... AUX PHILIPPINES !

J’entends régulièrement des expats qui disent des choses qui sont  particulièrement négatives, parfois  même des choses humiliantes, voire insultantes au sujet des Philippins.

Il y en a qui disent que les Philippins sont stupides, d’autres qui disent qu’ils sont fainéants et certains ajoutent même que le Philippin est cupide, vénal, qu’il ne recherche que l’argent, votre argent.

J’ai même reçu une demande au sujet de savoir si les Filipinas, fiancées avec des occidentaux,  continuaient à avoir des relations avec leurs ex-boy-friends Philippins.
Etrange question s’il en est.

Avais-je affaire ce jour à une personne qui était sous le coup d’une déception amoureuse ?
Quelqu’un qui avait perdu quelques centaines d’euros envoyés à sa ‘’Chérie de fiancée des îles’’ ? 



Sa très chère fiancée qui s’était gentiment foutue de lui ?


Comme partout dans le monde il y a ici des femmes vénales, c’est indéniable, je ne vais pas le nier.
Mais toutes les femmes ne sont-elles pas plus ou moins vénales ? Je vais encore me faire bien voir par le MILF.


Maintenant, réfléchissons un peu.

Comment se passait une vie normale à mon époque, comment cela s’est passé et se passe peut-être (sûrement) encore.

Cela commençait par quelques bombons ou gâteaux à la maternelle, puis les cokes et les entrées de cinéma, les cadeaux d’anniversaires, les dîners au restaurant, etc. 

Qui payait ? Qui paie ? Quien paga ?


Puis le mariage et là boom, pour cinquante pour cent d’entre nous tout du moins … le divorce !
Et là, mes amis, vous allez payer. Nous ne sommes pas aux Etats-Unis, néanmoins un divorce cela coûte chérot. 

Vous êtes en relation sur le net avec une ‘’Pinay’’ et celle-ci, en fait, vous mène en bateau.
Vous lui avez offert un laptop, un blackberry ou autre ‘’sonnerie’’ du même genre, envoyé un peu d’argent et ‘’hoops’’, elle vous file entre les doigts.

Et après, pour la majorité d’entre vous, allez-vous en mourir ?

Combien vous a coûté votre dernier divorce ?

Il n’y a pas plus ici, à mon avis tout du moins,  d’arnaqueuses que dans le reste du monde.
Au lieu de dépenser votre argent, en risquant de le regretter, car vous êtes un radin, venez ici, offrez-vous un voyage, venez regarder la réalité en face, rencontrez celle que vous avez vu sur la toile, affrontez le monde réel.



Mythe ou légende, sincérité ou arnaque ? 

Faites-vous votre propre opinion !

Maintenant je vais vous raconter une histoire, l’histoire de ces filles qui vont travailler dans des bars, des clubs, des boîtes où passent de nombreux ‘’Kano’’, des foreigners ou étrangers.

Je rappelle tout de même que le sexe-tourisme doit représenter aux Philippines, moins de 4 % de la prostitution totale du pays.

Ces jeunes filles et jeunes femmes qui rêvent, car pour nombreuses d’entre elles c’est un rêve, de gravir la première marche vers ce qu’elles pensent être le Paradis : se faire épouser par un ‘’Kano’’. 

Cette première marche, travailler dans un lieu où viennent, où se trouvent des ‘’Kanos ‘’.

Prenons l’exemple d’Angeles City, le mini Pattaya philippin.
Nombreuses sont les jeunes filles plus ou moins incultes, venues des provinces les plus pauvres du pays comme Samar et Leyte, qui vont arriver dans la Capitale du Sexe Philippin. 

Elles sont toutes persuadées qu’elles vont y trouver le prince charmant.

Combien vont le trouver ?

Je dirais deux, trois pour cent, pas plus, mais cela suffit pour entretenir la légende.
Elles ont toutes en mémoire l’histoire de telle ou telle fille qui, pauvre parmi les pauvres, est maintenant capable de subvenir aux besoins de tout son village, voire de sa ville. 

La Madone de la ville de X, celle dont le nom est vénéré presque comme celui de la Sainte Vierge.

Ces filles ne sont pas uniquement de la chair, elles ont aussi, pour la grande majorité d’entre elles, un cœur, une âme et de nombreuses déceptions. Combien d’entres elles possèdent une photographie du fiancé américain, canadien, suisse ou autre ? 


Photos qu’elles ont faites encadrées et qu’elles regardent et embrassent chaque soir avant de s’endormir, en priant pour que l’être aimé, le prince charmant, revienne pour les emmener dans son lointain pays nommé Eldorado.

Mais oui, c’est sûr, il existe également de superbes arnaqueuses !
Venez et faites-vous votre propre opinion.


Mais revenons-en aux propos exprimés par certains expats au sujet des Philippins.

Les Philippins sont-ils stupides, fainéants et avides ?

A ceux là je réponds que cela ne peut en aucun cas s’appliquer aux Philippins.
Y a-t-il des Philippins stupides C’est sûr, il y en a qui le sont !

Mais le sont-ils tous, peut-on généraliser la chose à l’ensemble des Philippins ?
En aucun cas.

La même question peut s’appliquer à tous les peuples du monde.

Y a-t-il des Américains, des Anglais, des Allemands, des Belges, des Suisses, etc. qui sont stupides ? Certainement, mais l’on ne peut pas dire que tous les Américains, Anglais, Allemands, Belges, Suisses, etc. sont stupides.

Par contre, l’on peut dire que les Philippins, dans une certaine mesure, font des choses, agissent et pensent d’une manière différente de la nôtre. Je ne pense pas que l’on puisse dire que des gens qui ont une culture différente de la nôtre sont automatiquement stupides.

Cela est également valable pour les fainéants et les personnes avides.


Chaque pays compte dans sa population des personnes stupides, fainéantes et avides.
Mais dans chaque pays l’on trouve également des personnes ‘’smart’’, intelligentes, généreuses et travailleuses. Personne n’a le monopole ou l’exclusivité de ces traits de caractères. 

Je connais un expat qui me dit régulièrement ne pas vouloir socialiser avec des Philippins.
Il ne veut pas avoir de contacts avec la population locale.

Il raconte  qui veut bien l’entendre qu’il considère les Philippins comme des êtres qui ne sont pas intelligents, des gens qui, quelque part, sont mentalement et socialement inférieurs à lui. 

Il raconte que, comme il lui est impossible d’apprendre quoique ce soit d’un Philippin, pourquoi faire l’effort d’essayer de socialiser avec lui.

Mon expérience est quelque peu différente.
Tout au long de ma vie j’ai découvert qu’il m’était possible d’apprendre quelque chose de toute personne avec qui j’étais en contact.


Quelques exemples.

Un pêcheur totalement inculte de la côte de la Sierra Leone qui va m’expliquer ses techniques de pêche. Avec mon matériel des plus modernes et sophistiqués je n’attrapais pas le dixième de ce qu’il prenait avec un simple fil, un caillou qui lui servait de plomb et des hameçons dignes des temps préhistoriques. Mais il avait la connaissance des lieux de pêche, des mœurs et habitudes des poissons locaux et ses techniques efficaces remontaient à la nuit des temps.

Quand vous faites de la route dans la brousse d’Afrique, faites-vous toujours accompagner d’un local. S’il parle le français ou l’anglais, il va vous raconter des histoires locales, vous décrire comment vivent les gens dans cette région qu’il connait bien, etc.

Mais surtout en cas d’accident il saura où se trouve le plus proche village dans lequel il sera possible de trouver du secours, en cas de morsure d’un serpent il saura si celui-ci est dangereux ou pas et ce qu’il faut faire ou ne pas faire.

Les fruits et baies comestibles, les endroits où il est possible de trouver de l’eau potable, quels sont les pièges et les dangers, comment les éviter …

Donc il y a toujours quelque chose à apprendre, toujours quelque chose à échanger avec autrui. Bon maintenant je vous le concède volontiers il y a des ‘’Klongs’’ partout, mais c’est loin d’être une spécialité philippine.


Un autre expat me disait : « j’ai des amis philippins, mais ils sont issus d’une catégorie qui est plus éduquée, qui a de l’argent, en majorité des métis, des gens qui ont voyagé et qui ont l’expérience de la vie à l’étranger ».

« Il n’y a absolument aucun intérêt pour moi de parler avec quelqu’un qui parle difficilement l’anglais, qui est pauvre, qui n’a pas ou peu d’éducation, qui ne connait rien, sauf des choses dans lesquelles je n’ai aucun intérêt, etc. ».

Ce genre de personnage on en rencontre souvent quand on est expatrié.

Comme je lui faisais remarquer que son anglais était loin d’être parfait et qu’il se rapprochait même de l’anglais des plus basiques, il m’a rétorqué : « Les gens éduqués me comprennent parfaitement et je les comprends ». J’ai pensé, peut-être sont-ils polis !

C’est le genre de personnage que je soupçonne fortement d’avoir eu la même attitude, vis-à-vis de ses compatriotes, quand il vivait encore dans son pays d’origine.


Souhaitez-vous faire comme, ou être comparé à ces Maghrébins ou à ces Africains, ou encore à ces gens de l’Est, qui se regroupent par ethnies en France ? L’on pourrait parler des Mexicains aux USA, des Polonais et Indiens en Grande Bretagne, des Pakistanais en Australie. 
Vous souhaitez leur ressembler en restant seul dans votre coin, uniquement entouré de vos compatriotes à converser uniquement dans votre langue ?

Pour certains d’entre vous, vous êtes venus aux Philippines en critiquant ces populations qui refusent de se mélanger, qui refusent de s’intégrer un minimum dans votre pays et vous êtes en train de faire la même chose ici.  

Plus ou moins consciemment vous avez le même genre d’attitude.

Pas si difficile pourtant et vous verrez que votre vie en sera grandement facilitée.

Celui qui vit sur l’archipel en ne faisant que critiquer ce que font, disent et pensent les Philippins, n’y fera pas de vieux os. Il va rapidement disparaitre du paysage local.

Pour ceux qui sont célibataires, veufs ou divorcés, discutez avec des jeunes filles et femmes. Il n’y a pas que dans les bars qu’il est possible d’en rencontrer, cela n’est pas bien difficile.
Si apprendre le Tagalog ou le Bisaya vous semble dans un premier temps trop difficile, cela vous permettra au moins d’améliorer votre anglais.

Attention tout de même où vous mettez les pieds et souvenez-vous qu’il n’est pas si facile de se faire des amies philippines.

Pour les hommes mariés, avec une Philippine ou non, acceptez quelques invitations à vous joindre à un groupe lors d’une session sous un kobo. 

C’est de tout cœur qu’ils vont vous offrir à boire.

Proposez d’acheter une autre bouteille et donnez une centaine de pesos à un gamin qui va s’empresser d’aller acheter une bouteille d’Imperador. Vous allez vous faire des amis et même s’ils n’ont pas tous votre intelligence, cela vous permettra de découvrir dans un premier temps,  puis de mieux connaître, la culture philippine. 

Souvenez-vous, ils sont les hôtes, vous n’êtes qu’un invité, mais ils ont le sens de l’hospitalité.

Peut-être serait-il bon de leur montrer un peu de respect.

Vous ne savez pas ce qui peut arriver, il se peut que vous appreniez une chose ou deux de leur part, à la condition de leur laisser une chance de pouvoir vous montrer ce qu’ils connaissent.


Croyez-en mon expérience, le fait d’avoir des contacts amicaux avec les gens locaux vous rendra la vie plus facile.

Vous n’en apprécierez que mieux l’existence au pays des 7.107 îles si vous arrivez à apprendre, car cela s’apprend, à vivre en paix et en harmonie avec les gens qui sont autour de vous. 

Je sais, cela n’est pas toujours facile, mais si vous faites les efforts nécessaires, vous ne le regretterez pas. 



Expériences, avis, commentaires et critiques sont, comme d'habitude,  les bienvenus. 



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                Prétend être ?

Enquêtes et Investigations
                   Aux Philippines

lundi 17 septembre 2012

ET APRÈS LE MARIAGE ... AUX PHILIPPINES ?


Eh oui, que se passe-t-il après le mariage ?

Vous vous souvenez de l’histoire d’Alan, ce jeune homme européen venu marier sa Pinay rencontrée sur le net ?


Un petit résumé pour vous remettre dans le contexte de l’histoire.

Alan, notre jeune homme de 39 ans rencontre Rhina sur la toile et après quatorze mois de correspondances, de conversations téléphoniques et de longues sessions de webcam, l’ami Alan vient voir sa belle.

Rencontre de la famille, petit voyage d’amoureux sur Bohol et Siquijor, tout se passe pour le mieux et huit mois plus tard, le temps de préparer les documents, notre ami revient aux pays des 7.107 îles afin de marier sa ‘’Rhina’’.

Mariage religieux, après quelques formalités et … Alan repart seul dans son pays.
Oui, ils sont officiellement mariés, mais cela n’autorise pas Alan à emmener celle qui est maintenant son épouse dans son pays.

Lui est obligé de rentrer, son job de fonctionnaire ne lui permet pas de prendre autant de vacances autant de fois qu’il le souhaiterait. Donc le voilà de retour seul et un peu frustré ; un jeune marié déjà privé de son épouse.

Cela ce passait il y a quelques années et  Alan va se battre pendant quatre mois avec les administrations de son pays, interpellant même son Sénateur, avant enfin, de pouvoir faire venir son épouse.

Elle va enfin pouvoir le rejoindre … cinq mois après le mariage.

Ceci c’était il y a quelques années.

De nos jours et pour un Français qui souhaiterait faire venir sa ‘’Madame’’ il lui faut compter de cinq à six mois pour l’obtention du livret de famille et ajouter deux à trois mois supplémentaires pour l’obtention du visa. 


Frustrant quand on sait ce qui se passe par ailleurs pour des immigrés qui se trouvent plus ou moins en situations irrégulières sur le territoire national.
Sans commentaires !  


La lune de miel se passe merveilleusement bien suivie d’une période d’ajustement un peu plus difficile à vivre.

Ils ont chacun une vision un peu irréaliste de ce qu’ils attendent de leur nouvelle vie et les attentent ne sont pas toujours les mêmes. Cela va prendre plus d’un an pour que les ajustements se fassent et qu’ils trouvent un terrain d’entente sur presque tout.


Rhina, bien entendu, ne peut en quelques mois oublier tout son passé et sa famille, les Philippines lui manquent. De son côté Alan est troublé par la tristesse de sa jeune épouse.
Néanmoins, Rhina va peu à peu s’adapter à son nouvel environnement, à sa nouvelle vie.
Elle se fait de nouveaux amis, certains sont des Philippins, mais pas tous et s’occupe à re-décorer la maison d’Alan, maison qui est également la sienne maintenant.


Cette nouvelle décoration inclue des images de la vierge et quelques autres bondieuseries bien philippines.

Bien qu’ayant deux religions distincts, lui est Protestant, elle Catholique, ils fréquentent les deux églises ensemble. Rhina accompagne Alan au Temple et ce dernier est aux côtés de son épouse lors des offices à la Cathédrale.

Si Alan songe sérieusement à se convertir à la religion Catholique, il n’est pas question pour Rhina de changer de foi, pas question pour elle de se convertir au protestantisme. Ils en ont longuement discuté et la décision a été prise en commun, Alan va se convertir à la religion de son épouse.


Alan sait maintenant où se trouvent les plus proches épiceries asiatiques et il achète le riz par sacs de 25 kilogrammes. Manger du riz, cela doit être inscrit dans les gênes de la Pinay.

Si certains d’entre vous, mariés à des Pinay(s), ont réussi à leur faire oublier le riz, pour les pommes de terre par exemple, faites le moi savoir, un scoop comme celui là je ne voudrais surtout pas le manquer.


Alan commence à apprécier les plats philippins préparés par Rhina et cette dernière s’est également lancée dans la réalisation des petits plats préférés de son mari.

N’ayant jamais utilisé de four auparavant, certaines expériences (catastrophiques) ont été nécessaires durant la phase d’apprentissage. Mais, ça y est presque, après deux ans elle est passée maître dans l’utilisation du four ainsi que de quelques autres appareils avec lesquels elle ne se trouvait pas à l’aise lors de son arrivée. C’est le cas du toaster, du four à micro-ondes, des mixers, du lave vaisselle et d’autres.


Même si elle a appris à se servir du lave linge et du séchoir, appareils qu’elle apprécie parfois, elle continue à laver la presque totalité du linge à la main. Encore une histoire de gênes ?
Un point très important et qui doit absolument être réglé dès le début du mariage. 

Combien envoyer à la famille restée aux Philippines et comment régler le problème des incessantes demandes financières qui ne vont pas manquer d’être faites.

Alan et Rhina se sont mis d’accord pour faire parvenir € 250 mensuellement et cela  doit inclure toutes les dépenses de la famille, à eux de gérer ce montant. Pas moins, pas plus.


Car cela vous n’y couperez pas, la Pinay qui se trouve à l’étranger se doit de supporter, partiellement tout du moins, se doit d’aider financièrement la famille restée au pays des 7.107 îles.

Aller contre cette tradition et votre ménage ne va pas tenir longtemps.


Souvenez-vous que lorsque vous épousez une ‘’Pinay’’, vous épousez également un peu la famille.

Ce montant doit servir à couvrir partiellement la nourriture, les factures et les frais scolaires des nombreux enfants. Mais partiellement, pas question pour la famille restée au pays de se croiser les bras à ne rien faire au prétexte que leur fille est mariée avec un ‘’Kano‘’.


En cas d’urgence, un dépannage peut être consenti, mais il sera déduit, par exemple sur un an.

Ce fût le cas une fois avec l’hospitalisation de la mère de Rhina et pendant plus d’un an le montant mensuel envoyé a été réduit à € 200.


Durant la seconde année de leur mariage ils ont été à de nombreuses reprises sollicités par un de frères de Rhina pour l’achat d’un tricycle, d’un jeepney ou d’un stock pour monter un Sari-sari store. Ils n’ont jamais cédé aux demandes, même si cela a parfois créé des tensions dans le couple.

Dans la troisième année de leur mariage, Rhina a donné naissance à leur premier enfant, un garçon qu’ils ont prénommé Ryan. Celui-ci a été suivi de deux autres, deux filles prénommées Aurora et Isabella.

C’est un sujet qu’ils avaient abordé dès le début de leur relation, bien avant le mariage ; combien d’enfants viendraient compléter la famille ?

Alan était partant pour deux, Rhina pour cinq, un compromis a été trouvé à trois et ils s’en sont tenus à ce chiffre. 


C’est un autre sujet sur lequel le couple doit se mettre d’accord, si possible avant le mariage :
Combien d’enfants souhaitent-ils avoir ?


Cela fait maintenant quinze ans que Rhina et Alan sont mariés.

Même s’il y a eu quelques moments difficiles, le couple a surmonté tous les obstacles et il n’a jamais été question de séparation, encore moins de divorce.


Depuis plus de dix ans maintenant Rhina travaille à mi-temps.

Alan se rapproche peu à peu de l’âge de la retraite et d’un commun accord il a été décidé que leurs vieux jours se passeraient aux Philippines.


Le couple a mis suffisamment d’argent de côté pour vivre comme des coqs en pâte et ils ont acheté un grand terrain sur lequel ils vont faire construire leur ‘’Home Sweet Home’’ … pour leur retraite.

Retraite qu’ils se sont fait la promesse d’agrémenter de quelques voyages sur les pays environnants qu’ils ne connaissent ni l’un, ni l’autre. Cambodge, Thaïlande, Laos sont déjà au programme, ils seront très certainement suivis de beaucoup d’autres.

Ceci est l’exemple presque parfait, mais c’est une réalité.

Cela ne s’est pas fait tout seul, cela n’est pas automatique, les deux ont su faire des concessions.

Comme disait Saint Ex, l’amour ne consiste pas à se regarder l’un, l’autre, mais à regarder à deux dans la même direction … ou quelque chose comme ça, les spécialistes auront éventuellement rectifié.


Maintenant si vous épousez quelqu’un qui louche ou une aveugle, une personne dont un œil joue au billard et l’autre qui compte les points, je vous souhaite bon courage pour regarder dans la même direction.

Celui qui part dans le mariage sur la base de ‘’Alea jacta est’’ ou de ‘’Ave Caesar,
morituri te salutant’’ courre au suicide, celui qui joue les gros bras, le dresseur d’esclaves, celui qui raconte "Veni, Vidi, Vici" ... risque de courir … sans tête, dans ce pays.



Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.


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